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Critique de LesChevalecteursDursACuire
L'auteur est Stéphane Servant, il est dans le domaine de la littérature jeunesse. Il a écrit et illustré plus d'une dizaine de livre, et a été récompensé par plusieurs prix, dont celui des incorruptibles en 2013 pour « La culotte du loup » . Il a travaillé avec plusieurs illustrateurs tels que Leticia Le Saux ou encore Benoît Morel.
Trois soeurs qui doivent rester soudées malgré ce qu'il leur arrive. Créant une atmosphère autour d'elles pour se protéger le plus possible. Ces trois filles, la grande, la moyenne et la petite d'une mère folle qui pleure qui rit. Leur père qu'elles ne connaissent pas. La grande qui a un rôle immense au sein de cette fratrie. Ce texte est écrit comme un poème en prose, n'aimant pas trop les poèmes je n'ai pas forcément aimé l'écriture mais l'histoire ma touché, les mots sont forts et le point de vue et l'état de chaque soeur est très intéressant.
L'extrait : « Nous rions à l'idée que l'amour d'un garçon nous viendrait un jour. Que nous serions comme des chiennes quêtant une caresse, les yeux humides, débordant d'affection et de terreur à l'idée de ne jamais recevoir cette caresse, prêtes à nous laisser mourir si cette main ne se posait pas distraitement sur nos échines maigres et tremblantes »
J'ai choisi ce passage car je trouve qu'il illustre bien ce que j'ai dit, ces paroles fortes et sans filtres.
Trois soeurs qui doivent rester soudées malgré ce qu'il leur arrive. Créant une atmosphère autour d'elles pour se protéger le plus possible. Ces trois filles, la grande, la moyenne et la petite d'une mère folle qui pleure qui rit. Leur père qu'elles ne connaissent pas. La grande qui a un rôle immense au sein de cette fratrie. Ce texte est écrit comme un poème en prose, n'aimant pas trop les poèmes je n'ai pas forcément aimé l'écriture mais l'histoire ma touché, les mots sont forts et le point de vue et l'état de chaque soeur est très intéressant.
L'extrait : « Nous rions à l'idée que l'amour d'un garçon nous viendrait un jour. Que nous serions comme des chiennes quêtant une caresse, les yeux humides, débordant d'affection et de terreur à l'idée de ne jamais recevoir cette caresse, prêtes à nous laisser mourir si cette main ne se posait pas distraitement sur nos échines maigres et tremblantes »
J'ai choisi ce passage car je trouve qu'il illustre bien ce que j'ai dit, ces paroles fortes et sans filtres.
