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Critique de Vexiana
Le temps fait encore un bon de géant et nous sommes maintenant aux portes de la période Crépuscule.
Herbert est devenu le Grand Khan, il a au moins un fils Papsukal. Et il a réussi a assembler les différents objets du Destin mais on ne sait pas comment...ce n'est pas grave, on a compris mais personnellement j'aurais aimé connaitre les détails des quêtes.
Revenons à l'histoire de ce tome qui se déroule donc dans les profondeurs marines.
Nous suivons une jeune créature dans une série d'aventures qui marquent un cheminement dans un processus 'classique' de la perte de l'innocence et de la prise de conscience des côtés obscurs de tous.
Comme souvent dans cette série, c'est noir et désabusé mais ça n'a plus les accents légers qu'on trouvait dans la plupart des tomes de la période Zenith.
Côté dessin, j'ai beaucoup beaucoup aimé. C'est très riche et détaillé, Killoffer profite de cet univers abyssal pour exploiter un monde ornemental très réussi.
Herbert est devenu le Grand Khan, il a au moins un fils Papsukal. Et il a réussi a assembler les différents objets du Destin mais on ne sait pas comment...ce n'est pas grave, on a compris mais personnellement j'aurais aimé connaitre les détails des quêtes.
Revenons à l'histoire de ce tome qui se déroule donc dans les profondeurs marines.
Nous suivons une jeune créature dans une série d'aventures qui marquent un cheminement dans un processus 'classique' de la perte de l'innocence et de la prise de conscience des côtés obscurs de tous.
Comme souvent dans cette série, c'est noir et désabusé mais ça n'a plus les accents légers qu'on trouvait dans la plupart des tomes de la période Zenith.
Côté dessin, j'ai beaucoup beaucoup aimé. C'est très riche et détaillé, Killoffer profite de cet univers abyssal pour exploiter un monde ornemental très réussi.
