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Critique de Apikrus
Le récit débute le 9 août 1945 à Nagasaki. En quatre mots ("Alors, le monde blanchit", p. 41), l'auteur décrit sobrement et brillamment la soudaineté de l'explosion nucléaire qui rendit cette ville si tristement célèbre.
Ce roman relate notamment la vie de Hiroko Tanaka, survivante de cet événement tragique. A travers les nombreux conflits impliquant des pays dans lesquels Hiroko ou des membres de sa famille vivront, c'est la nature guerrière des êtres humains que l'auteur expose et analyse. Elle le fait d'une manière très subtile. J'aurais cependant apprécié que des notes en bas de page viennent expliciter le contexte historique dans lequel le roman se déroule, en particulier s'agissant de la partition entre l'Inde et le Pakistan.
Ce roman relate notamment la vie de Hiroko Tanaka, survivante de cet événement tragique. A travers les nombreux conflits impliquant des pays dans lesquels Hiroko ou des membres de sa famille vivront, c'est la nature guerrière des êtres humains que l'auteur expose et analyse. Elle le fait d'une manière très subtile. J'aurais cependant apprécié que des notes en bas de page viennent expliciter le contexte historique dans lequel le roman se déroule, en particulier s'agissant de la partition entre l'Inde et le Pakistan.
