Le Prieuré de l'oranger

Eu par le dragon sur la couverture. Car il y beaucoup trop d'histoires d'amour dans ce premier tome (4 au moins). Aucune ne m'a parue sublime, faute de place pour bien se développer, dans ce roman très dense, très explicatif de sa légende. Ce que j'aime dans ce type de littérature, c'est la description de paysages, d'univers différents, que le héros doit fuir ou rejoindre en affrontant des difficultés légèrement flippante pour tout lecteur. Ici le départ d'Yscalin m'a semblé trop facile. Ce qui me plait, c'est l'échec et le fait que le héros ne perde pas courage malgré sa peur. J'aime que l'auteur tisse des liens d'amitié, de valeurs, avec ses personnages et que la mort d'un personnage m'émeuve. Et surtout l'essentiel j'adore les dragons ! (qui sont très peu présents).Ils sont ici « d'une longueur impossible" et « le silence qui s'ensuivit fut aussi lourd qu'un massepain »