" Je pars dix jours en vacances et pendant ce temps-là on fait sauter la moitié de la ville, la moitié des policiers tournent pédés, la moitié du stock de capotes anglaises est achetée par un maniaque, et Verkramp arrête le foutu bon Dieu de merde de maire !"
Je comprends pourquoi
Tom Sharpe fut expulsé d'Afrique du Sud..
Il livre dans ce roman un réquisitoire mordant et drôle contre la société de l'apartheid, notamment les colons anglais et plus particulièrement les forces de l'ordre, police et services secrets. Mais il égratigne tout le monde avec un humour qui lui appartient, et des réparties très amusantes. J'ai malgré tout moins ri qu'avec Wilt 1 où les situations cocasses étaient plus nombreuses.
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