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Critique de Sacajawa
Au risque de me répéter, j'ai encore une fois adoré ce nouveau et dernier (snif, snif) tome.
Après m'être arrachée le coeur à la lecture poignante de Broken Knight, j'étais contente de clôturer la saga ASH avec ce tome rafraîchissant qui d'ailleurs se déroule en grande partie en dehors des murs habituels. En route donc vers l'Europe, pour un changement d'air bienvenu, histoire de me remettre de mes émotions précédentes.
Ce changement de décor explique aussi que c'est, la première fois, que l'on trouve le moins d'interactions avec les personnages des autres tomes. Et, même si j'avoue que ça m'a manque car j'adore avoir de leurs nouvelles indirectement, je trouve ce choix tout à fait cohérent.
De plus cette approche m'a permis d'amorcer une transition vers la fin de la saga tel un "au revoir" en douceur.
Douceur, il faut le dire vite car niveau noirceur, on est servi avec ce duo atypique et fascinant. On se retrouve donc plongé dans un duel féroce presque d'égal à égal dans lequel on se régale de la bizarrerie et des coups tordus qui ponctuent cette relation pour le moins décalée mais toujours si loufoquement passionnée.
Après m'être arrachée le coeur à la lecture poignante de Broken Knight, j'étais contente de clôturer la saga ASH avec ce tome rafraîchissant qui d'ailleurs se déroule en grande partie en dehors des murs habituels. En route donc vers l'Europe, pour un changement d'air bienvenu, histoire de me remettre de mes émotions précédentes.
Ce changement de décor explique aussi que c'est, la première fois, que l'on trouve le moins d'interactions avec les personnages des autres tomes. Et, même si j'avoue que ça m'a manque car j'adore avoir de leurs nouvelles indirectement, je trouve ce choix tout à fait cohérent.
De plus cette approche m'a permis d'amorcer une transition vers la fin de la saga tel un "au revoir" en douceur.
Douceur, il faut le dire vite car niveau noirceur, on est servi avec ce duo atypique et fascinant. On se retrouve donc plongé dans un duel féroce presque d'égal à égal dans lequel on se régale de la bizarrerie et des coups tordus qui ponctuent cette relation pour le moins décalée mais toujours si loufoquement passionnée.
