>
Critique de gouelan
Tsubame, une hirondelle qui fait son nid, ignorant les tremblements de terre et la violence, vole au-dessus de cette confusion, ivre de liberté et de bonheur.
Tsubame c'est aussi le surnom d'un prêtre. Il prend soin de Yonhi devenue orpheline après le tremblement de terre de 1923. Comme un petit oisillon, cette petite fille Coréenne devra cacher son identité et l'histoire tragique de sa famille, pour ne pas subir la cruauté des Japonais envers son peuple. Elle deviendra Mariko.
Comment vivre en cachant un si lourd secret, en portant la blessure d'une enfance saccagée par la bêtise des hommes ? Peut-on se reconstruire sur des ruines ?
Tout en poésie et en pudeur, ce roman nous transporte dans le monde de Mariko, un monde fragile d'où on aimerait s'échapper par un vol d'hirondelle.
Tsubame c'est aussi le surnom d'un prêtre. Il prend soin de Yonhi devenue orpheline après le tremblement de terre de 1923. Comme un petit oisillon, cette petite fille Coréenne devra cacher son identité et l'histoire tragique de sa famille, pour ne pas subir la cruauté des Japonais envers son peuple. Elle deviendra Mariko.
Comment vivre en cachant un si lourd secret, en portant la blessure d'une enfance saccagée par la bêtise des hommes ? Peut-on se reconstruire sur des ruines ?
Tout en poésie et en pudeur, ce roman nous transporte dans le monde de Mariko, un monde fragile d'où on aimerait s'échapper par un vol d'hirondelle.
