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Critique de Tachan
A force de lire et d'avoir lu pléthore de romances historiques, soit je cherche celles qui ont le petit truc en plus, soit je cherche celles qui ont les tropes que j'adore. le premier tome des Rebelles de la Cinquième Avenue est le savant mélange des deux !
Joanna Shupe est une autrice qui commence à avoir sa place dans ma bibliothèque de romances. Elle s'est spécialisée dans celles se déroulant aux États-Unis et bien que ce ne soit sur le papier pas mes préférées, elle a le piquant et la drôlerie que j'aime qui fait que j'ai envie de donner une chance à chacune de ses histoires. Ainsi après avoir adoré Miss Catastrophe, qui parlait d'architecture et de construction d'immeubles, j'ai été ravie dans L'Amie d'enfance de la voir parler de tennis féminin au début du XXe siècle !
Dès le début, cette romance avait tout pour me plaire. J'adore les histoires d'amis d'enfance, c'est un peu mon péché mignon, mais j'ai du mal quand c'est gnian gnian et je préfère quand les personnages ont des échanges piquants. Avec Harrison, mouton noir de la famille Archer, qui revient aux Etats-Unis pour se venger de sa famille et découvre que son amie de toujours, Maddie, est toujours célibataire, j'avais de quoi passer un bon moment. Alliant vengeance et désir de conquête, celui-ci imagine un plan également pour enfin faire comprendre ses sentiments à son amie de toujours qui le considérait autrefois comme un frère.
Dans une partie de campagne qui n'a rien à envier celles se déroulant en Angleterre, nous allons assister au rapprochement de nos deux amis de toujours, qui ont toujours fait les quatre cents coups ensemble et qui après trois ans de séparation se découvrent sous un nouveau jour. Leurs échanges sont donc à la fois familiers, il se connaissent depuis longtemps, et pimentés, Maddie a du mal à reconnaître cette nouvelle attirance, mais aussi sexy, car Harrison est prêt à tout pour la faire succomber car il a peur qu'elle épouse un certain Duc.
C'est donc à la fois entraînant, piquant et doux. J'ai beaucoup aimé le passé des deux héros qui crée cette proximité entre eux, mais aussi l'éloignement subi qui est source de nouveautés. Cela m'a beaucoup amusée que tout le monde, sauf Maddie, se rendent compte du plan d'Harrison et l'aident à l'accomplir. Même s'ils sont amis, ils ne s'épargnent pas l'un l'autre, ce qui fut aussi fort sympathique. Et le fait que Maddie joue au tennis à haut niveau, ce qui implique matchs, entraînements et préparations, n'a rien gâché, tout comme le fait qu'Harrison ourdisse une vengeance contre sa famille.
La première partie fut donc fort agréable à suivre, pleine d'humour, de tension amoureuse et de plans forts drôles. J'ai moins aimé la suite où l'autrice m'a moins vendu du rêve avec les sempiternels problèmes de couple dus à une mauvaise communication qu'on a vus et revus. C'était usant de voir ce pauvre Harrison s'abîmer en déclaration et en excuses à cause de ses mensonges, tandis que Maddie était pénible à le vouloir parfait alors qu'il ne l'est pas et qu'elle ne l'est pas non plus. Je n'ai jamais trop aimé une fois que les couples sont mariés, je trouve ça souvent plus fade, malheureusement ce fut le cas ici aussi. Seuls les histoires de vengeance familiale entre les Archer m'ont intéressée car c'était agréable de voir un homme aller jusqu'au bout, surtout après ce qu'il avait vécu, mais concrètement il n'y a rien de neuf ici non plus.
Nouvelle incursion réussie dans les romances historiques américaines pour moi. J'ai adoré le trope des amis d'enfance parce que c'est l'un des scénarios que je préfère en romance et que l'autrice a su pimenter les choses. J'ai beaucoup aimé que l'héroïne soit une joueuse de tennis, c'était une première. J'ai aimé que le héros ait un désir de vengeance et qu'il l'accomplisse. En revanche, la mécanique du récit fut fort classique et j'aurais aimé que les idées innovantes participent aussi à la narration.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Joanna Shupe est une autrice qui commence à avoir sa place dans ma bibliothèque de romances. Elle s'est spécialisée dans celles se déroulant aux États-Unis et bien que ce ne soit sur le papier pas mes préférées, elle a le piquant et la drôlerie que j'aime qui fait que j'ai envie de donner une chance à chacune de ses histoires. Ainsi après avoir adoré Miss Catastrophe, qui parlait d'architecture et de construction d'immeubles, j'ai été ravie dans L'Amie d'enfance de la voir parler de tennis féminin au début du XXe siècle !
Dès le début, cette romance avait tout pour me plaire. J'adore les histoires d'amis d'enfance, c'est un peu mon péché mignon, mais j'ai du mal quand c'est gnian gnian et je préfère quand les personnages ont des échanges piquants. Avec Harrison, mouton noir de la famille Archer, qui revient aux Etats-Unis pour se venger de sa famille et découvre que son amie de toujours, Maddie, est toujours célibataire, j'avais de quoi passer un bon moment. Alliant vengeance et désir de conquête, celui-ci imagine un plan également pour enfin faire comprendre ses sentiments à son amie de toujours qui le considérait autrefois comme un frère.
Dans une partie de campagne qui n'a rien à envier celles se déroulant en Angleterre, nous allons assister au rapprochement de nos deux amis de toujours, qui ont toujours fait les quatre cents coups ensemble et qui après trois ans de séparation se découvrent sous un nouveau jour. Leurs échanges sont donc à la fois familiers, il se connaissent depuis longtemps, et pimentés, Maddie a du mal à reconnaître cette nouvelle attirance, mais aussi sexy, car Harrison est prêt à tout pour la faire succomber car il a peur qu'elle épouse un certain Duc.
C'est donc à la fois entraînant, piquant et doux. J'ai beaucoup aimé le passé des deux héros qui crée cette proximité entre eux, mais aussi l'éloignement subi qui est source de nouveautés. Cela m'a beaucoup amusée que tout le monde, sauf Maddie, se rendent compte du plan d'Harrison et l'aident à l'accomplir. Même s'ils sont amis, ils ne s'épargnent pas l'un l'autre, ce qui fut aussi fort sympathique. Et le fait que Maddie joue au tennis à haut niveau, ce qui implique matchs, entraînements et préparations, n'a rien gâché, tout comme le fait qu'Harrison ourdisse une vengeance contre sa famille.
La première partie fut donc fort agréable à suivre, pleine d'humour, de tension amoureuse et de plans forts drôles. J'ai moins aimé la suite où l'autrice m'a moins vendu du rêve avec les sempiternels problèmes de couple dus à une mauvaise communication qu'on a vus et revus. C'était usant de voir ce pauvre Harrison s'abîmer en déclaration et en excuses à cause de ses mensonges, tandis que Maddie était pénible à le vouloir parfait alors qu'il ne l'est pas et qu'elle ne l'est pas non plus. Je n'ai jamais trop aimé une fois que les couples sont mariés, je trouve ça souvent plus fade, malheureusement ce fut le cas ici aussi. Seuls les histoires de vengeance familiale entre les Archer m'ont intéressée car c'était agréable de voir un homme aller jusqu'au bout, surtout après ce qu'il avait vécu, mais concrètement il n'y a rien de neuf ici non plus.
Nouvelle incursion réussie dans les romances historiques américaines pour moi. J'ai adoré le trope des amis d'enfance parce que c'est l'un des scénarios que je préfère en romance et que l'autrice a su pimenter les choses. J'ai beaucoup aimé que l'héroïne soit une joueuse de tennis, c'était une première. J'ai aimé que le héros ait un désir de vengeance et qu'il l'accomplisse. En revanche, la mécanique du récit fut fort classique et j'aurais aimé que les idées innovantes participent aussi à la narration.
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