[à propose des Indiens d'Amérique soumis aux habitudes de l'envahisseur européen]
Tous leurs malheurs découlent de là : le pain les rendit obèses ; le vin, ivrognes ; et la religion, débiles.
Skolvan n’avait pas de sympathie particulière pour las chats. Il les trouvait hypocrites, lascifs, et au contraire de l’avis général, terriblement dépendants.
Dieulefit n'avait jamais rien entendu d'aussi épouvantable. Il recula vers le salon en se disant que l'être capable de hurler de la sorte n'était pas humain.
Un cadavre de chien lui aurait fait de la peine. Persuadé que ces petites bêtes valent mieux que bien des humains, il l’aurait sans doute tiré sur la berge pour l’enterrer décemment. Une carcasse de vache – on trouve de tout dans la Seine- lui aurait inspiré du dégoût. Il l’aurait repoussé au large avec une perche sans rien dire à personne. Mais là, tout de même, le cadavre d’un homme…