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Critique de mesrives


Un paravent chiné à Paris devient le symbole d'une passion charnelle et adultère vécue par Brynhildur, islandaise à l'aube de la cinquantaine, et il se fait aussi l'écho de désirs inassouvis du temps de sa jeunesse. de retour au pays, dans la maison conjugale, où la raison l'emporte sur les émotions, il servira de réceptacle aux émois à venir et imaginaires.
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