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Critique de LPV
C'est une des rares fois où je suis sauvagement déçue par un livre. Coup classique me direz-vous, c'est que j'en attendais beaucoup. Mais alors, un raté comme ça, je ne m'y attendais pas. Niaiserie, aussi, de ma part, j'ai voulu croire que le bandeau best seller du New York Times valait encore quelque chose. Cette fois, c'est acté, on ne m'y reprendra plus.
L'idée de départ, pourtant, était sympa. Que ferions-nous si nous n'avions plus que 24 heures à vivre ? Et l'histoire aurait pu être vraiment, mais vraiment sympa, ne serait-ce que parce que les deux mecs, clichés éhontés chacun dans leur genre, offraient des prises pour tout plein de pistes de lecture.
Résultat : une bonne plâtrée de condescendance cheesy servie par un adulte qui se la joue ado inspiré et qui manque ces deux cibles : les adultes qui s'y risquent et qui y perdent leurs yeux ; et les ados, qui ne peuvent pas décemment croire que c'est ça le portrait qu'on se fait d'eux.
Ça y est, je suis une vieille conne. Et ben, tant mieux.
Qu'est-ce qu'on ferait si on devait mourir demain ? Pascal Obispo en a fait une chanson, ça dure trois minutes, et c'est très bien.
L'idée de départ, pourtant, était sympa. Que ferions-nous si nous n'avions plus que 24 heures à vivre ? Et l'histoire aurait pu être vraiment, mais vraiment sympa, ne serait-ce que parce que les deux mecs, clichés éhontés chacun dans leur genre, offraient des prises pour tout plein de pistes de lecture.
Résultat : une bonne plâtrée de condescendance cheesy servie par un adulte qui se la joue ado inspiré et qui manque ces deux cibles : les adultes qui s'y risquent et qui y perdent leurs yeux ; et les ados, qui ne peuvent pas décemment croire que c'est ça le portrait qu'on se fait d'eux.
Ça y est, je suis une vieille conne. Et ben, tant mieux.
Qu'est-ce qu'on ferait si on devait mourir demain ? Pascal Obispo en a fait une chanson, ça dure trois minutes, et c'est très bien.
