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Critique de Domichel
Paru il y a bientôt un an, ce deuxième tome des aventures des Buggels Noz est du même tonneau (de kirlotte) que le premier. À savoir un excellent cru.
Après nous avoir présenté tout leur petit monde, leurs héros et leurs soucis dans « le bois des Maîtres », les sieurs Simon et Michaud nous emmènent cette fois-ci au coeur du conflit qui ne tardera pas à éclater entre les puissances de l'ombre et les elfes, korrigans et enfants de la nuit. Face à un ennemi redoutable servi par de roués espions et sinistres affidés, les Buggels armoricains et leurs homologues Diddles venus de l'autre côté du “Channel”, devront composer avec les animaux de la forêt et rivaliser de courage pour ne pas se laisser vaincre.
Toujours autant perlé de bons mots, aphorismes, calembours et extraits des Beatles, ce deuxième opus n'engendre pas la mélancolie et l'on suit avec autant de plaisir les aventures de nos petits héros. le dessin tellement fouillé de Maître Michaud nécessite de longues minutes d'observation pour ne pas en perdre une miette et le scénario de Maître Simon ne manque pas non plus de virtuosité et de rebondissements.
Un pur moment de bravoure dans ce deuxième tome : la double-page consacrée à la carte du conflit et ses protagonistes, illustrée de manière quasi-militaire telle un carte d'état-major du débarquement. Un vrai régal !
La suite très bientôt dans le troisième tome, qui clôturera façon trilogie ce cycle, ou qui sera suivi d'un quatrième volume ?
Après nous avoir présenté tout leur petit monde, leurs héros et leurs soucis dans « le bois des Maîtres », les sieurs Simon et Michaud nous emmènent cette fois-ci au coeur du conflit qui ne tardera pas à éclater entre les puissances de l'ombre et les elfes, korrigans et enfants de la nuit. Face à un ennemi redoutable servi par de roués espions et sinistres affidés, les Buggels armoricains et leurs homologues Diddles venus de l'autre côté du “Channel”, devront composer avec les animaux de la forêt et rivaliser de courage pour ne pas se laisser vaincre.
Toujours autant perlé de bons mots, aphorismes, calembours et extraits des Beatles, ce deuxième opus n'engendre pas la mélancolie et l'on suit avec autant de plaisir les aventures de nos petits héros. le dessin tellement fouillé de Maître Michaud nécessite de longues minutes d'observation pour ne pas en perdre une miette et le scénario de Maître Simon ne manque pas non plus de virtuosité et de rebondissements.
Un pur moment de bravoure dans ce deuxième tome : la double-page consacrée à la carte du conflit et ses protagonistes, illustrée de manière quasi-militaire telle un carte d'état-major du débarquement. Un vrai régal !
La suite très bientôt dans le troisième tome, qui clôturera façon trilogie ce cycle, ou qui sera suivi d'un quatrième volume ?
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