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Critique de Emilija
Mirielle West est la femme d'un célèbre acteur de films muets. Depuis la mort accidentelle d'un de ses enfants elle se réfugie dans l'alcool et dans la frivolité. Mais le plus dur reste à venir quand on lui diagnostique la lèpre et qu'elle est emmenée contre son gré dans un établissement spécialisé, la coupant de la famille qui lui reste.
Avis : Sur le papier, je pensais que ce serait la publication de l'année que j'allais le moins préférer. Cependant j'ai lu ce roman à une vitesse folle, j'avais toujours envie de lire "juste un chapitre" de plus. Ce roman aborde énormément de thèmes très durs tels que la maladie, l'enfermement, le deuil, la perte d'espoir, et pourtant j'ai trouvé qu'il était très beau.
L'autrice parle des effets de la maladie et de la solitude mais elle souligne aussi les moments de joie qui se déroulent dans cet hôpital qui ressemble presque à une prison mais qui démontre que l'humain sait se créer des beaux moments dans les pires situations. J'ai été très émue de ce côté là du roman et de la bienveillance qui s'en dégageait.
J'ai aimé suivre Mirielle dans sa quête identitaire après avoir tout perdu (d'ailleurs les résidents de l'hôpital se donnait un pseudo en arrivant) et les relations qu'elle a noué en dépit des coups durs. Vraiment ce roman fut une belle découverte et je ne m'attendais pas à ce qu'il me touche ainsi.
En résumé: Un roman qui se lit à vitesse grand V et qui aborde les thèmes de la maladie et la résilience avec beaucoup de beauté.
Avis : Sur le papier, je pensais que ce serait la publication de l'année que j'allais le moins préférer. Cependant j'ai lu ce roman à une vitesse folle, j'avais toujours envie de lire "juste un chapitre" de plus. Ce roman aborde énormément de thèmes très durs tels que la maladie, l'enfermement, le deuil, la perte d'espoir, et pourtant j'ai trouvé qu'il était très beau.
L'autrice parle des effets de la maladie et de la solitude mais elle souligne aussi les moments de joie qui se déroulent dans cet hôpital qui ressemble presque à une prison mais qui démontre que l'humain sait se créer des beaux moments dans les pires situations. J'ai été très émue de ce côté là du roman et de la bienveillance qui s'en dégageait.
J'ai aimé suivre Mirielle dans sa quête identitaire après avoir tout perdu (d'ailleurs les résidents de l'hôpital se donnait un pseudo en arrivant) et les relations qu'elle a noué en dépit des coups durs. Vraiment ce roman fut une belle découverte et je ne m'attendais pas à ce qu'il me touche ainsi.
En résumé: Un roman qui se lit à vitesse grand V et qui aborde les thèmes de la maladie et la résilience avec beaucoup de beauté.
