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Critique de legrenier
« Je te jure, chérie, si j'ai candidaté à Masse critique pour recevoir ce livre, c'est uniquement car je pensais que c'était un traité macro-économique sur les nouvelles tendances du marché textile en Mandchourie centrale !!! » Rassurez-vous, ma chérie est très compréhensive et je n'ai pas eu besoin d'inventer des histoires bidons pour lire cette BD d'une jeune autrice même pas trentenaire.
Le livre est de prime abord un très bel objet : couverture cartonnée du plus bel effet, beau papier épais. L'envoi comportait également un poster commercial et une carte dédicacée : chouette, merci, c'est sympa ! Tout ça pour dire qu'on partait enchanté dans cette lecture, avec un petit frisson d'excitation à la lecture du titre. Evidemment, on avait compris que ce n'était pas un vulgaire récit érotique, mais bon, on a préféré lire le bouquin dans le canapé plutôt que coincé dans la cohue d'une rame de métro.
Tout ça de nouveau pour dire qu'on aurait aimé aimer. Malheureusement, je n'ai pas été conquis, ni par le dessin, ni par le style général, ni par le récit. Je pensais pouvoir suivre plus profondément les pensées et les motivations d'une jeune femme qui va se mettre à vendre ses culottes (et autres) en ligne. Mais l'histoire se concentre plus particulièrement sur la vie de l'héroïne un peu paumée, ses difficultés relationnelles, sans vraiment proposer de narration très captivante. Et puis on doit se l'avouer en refermant l'opus, cette Roxanne n'a pas grand-chose pour elle et, c'est bien le problème, elle n'est pas très sympathique. Ni sympa ni méchante genre Super-Villain, on a un peu de mal à s'attacher à elle.
C'est toujours délicat de critiquer (au sens négatif) une oeuvre dans laquelle on sent un réel investissement de l'auteur, mais c'est le jeu de Masse critique. Mais je suis sûr que Maybelline a beaucoup d'autres projets dans ses cartons à dessins !
Le livre est de prime abord un très bel objet : couverture cartonnée du plus bel effet, beau papier épais. L'envoi comportait également un poster commercial et une carte dédicacée : chouette, merci, c'est sympa ! Tout ça pour dire qu'on partait enchanté dans cette lecture, avec un petit frisson d'excitation à la lecture du titre. Evidemment, on avait compris que ce n'était pas un vulgaire récit érotique, mais bon, on a préféré lire le bouquin dans le canapé plutôt que coincé dans la cohue d'une rame de métro.
Tout ça de nouveau pour dire qu'on aurait aimé aimer. Malheureusement, je n'ai pas été conquis, ni par le dessin, ni par le style général, ni par le récit. Je pensais pouvoir suivre plus profondément les pensées et les motivations d'une jeune femme qui va se mettre à vendre ses culottes (et autres) en ligne. Mais l'histoire se concentre plus particulièrement sur la vie de l'héroïne un peu paumée, ses difficultés relationnelles, sans vraiment proposer de narration très captivante. Et puis on doit se l'avouer en refermant l'opus, cette Roxanne n'a pas grand-chose pour elle et, c'est bien le problème, elle n'est pas très sympathique. Ni sympa ni méchante genre Super-Villain, on a un peu de mal à s'attacher à elle.
C'est toujours délicat de critiquer (au sens négatif) une oeuvre dans laquelle on sent un réel investissement de l'auteur, mais c'est le jeu de Masse critique. Mais je suis sûr que Maybelline a beaucoup d'autres projets dans ses cartons à dessins !
