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Critique de gonewiththegreen


Les nouvelles, cela peut être très frustrant lorsque l'on est accro à l'histoire mais cela peut aussi être un format salvateur quand on se noie dans l'incompréhension.
Ici, la brièveté des récits m'a plutôt sauvé de l'ennui. Alors certes , trois quatre textes ont retenu mon attention comme 'Une sacré semaine" où une homme mur en pleine rupture évoque le souvenir de sa future ex, 'L'éducation sentimentale ' , tribulations d'un jeune couple à l'université ou 'Déconstruire l'affaire Kelso Cochrane'., autour d'un couple caribéens à Londres.
L'ensemble est bien écrit, de façon plutôt moderne m'a t il semblé.
Mais alors, que dire de la plupart des textes sinon que je les ai trouvés sans queue ni tête. Peut être que c'est moi qui n'avait pas les codes mais entre l'inintérêt du récit mais aussi la sensation que cette écriture mériterait un fond tellement plus attrayant, on se retrouve à prendre le texte une ou deux pages plus loin que prévues (n'aidant pas de fait à la compréhension, j'en conviens).
Les thèmes abordés, racisme, condition féminine, immigration et peut être d'autres qui m'ont échappé sont assez récurrents.

Une lecture étrange, oscillant entre l'indigent et le bon. Problème de ces recueils de nouvelles dont on apprend que certaines ont déjà été publiées durant la décennie.

Une petite phrase issue de la meilleure nouvelle , selon moi, Une sacré semaine.
"Il avait simplement été victime de ce que ses collègues et lui appelaient "l'effet Al Capone": quand on tombe, c'est rarement pour l'acte le plus grave qu'on a commis.
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