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Critique de amoulla69
J'ai craint une romance mièvre, sans saveur, voire même un peu glauque, mais pas du tout ! C'est une belle histoire d'amour dans laquelle on se laisse embarquer, dont les toiles de fond sont la perte d'un être cher, l'amour et la différence d'âge.
C'est suite à la mort de sa mère, décédée sous les coups de son compagnon, qu'Hazel, 16 ans, se retrouve sous la responsabilité de Darrow, 28 ans, richissime playboy, ancien associé et ami de la défunte. Assez âgé pour être le tuteur légal, mais pas assez pour être définitivement mis hors compétition dans le coeur de la jeune fille. Très vite, la tension amoureuse s'installe entre les 2 jeunes gens, dans le secret. Car le danger est de taille. Quel juge maintiendrait la tutelle d'un homme dont on sait qu'il entretient une relation charnelle avec sa pupille ?
Ça pourrait paraitre un peu nauséabond et sordide, à l'heure où le mouvement MeToo prend de plus en plus d'ampleur, où les témoignages d'inceste et d'emprises psychologiques destructrices d'adulte sur mineurs affluent de toute part.
Mais la grande différence avec ces histoires abjectes, c'est que le consentement entre les deux protagonistes est réel et bien mis en valeur dans Sinner Love.
Bon, il est vrai qu'étant moi-même mariée à un homme de 15 ans mon ainé, la différence d'âge ne me pose pas de problème. Non le problème, comme il est d'ailleurs explicité au sein du roman, c'est le rapport d'autorité et de responsabilité de Darrow sur Hazel, que n'y l'un ni l'autre n'a voulu, qui va freiner un temps les ardeurs de l'adulte, qui a parfaitement conscience de la situation et qui d'ailleurs, ne cherche pas à en tirer profit.
Alors oui, ils ont l'air un peu parfait ces personnages, et si l'opulence et les descriptions de somptueuses demeures, de voitures de luxe, de fringues de créateurs ou de montres à 20 000 dollars m'ont un peu fait lever les yeux au ciel par moment ( tout ce luxe m'écoeure un peu), c'est une romance rafraichissante et agréable !
C'est suite à la mort de sa mère, décédée sous les coups de son compagnon, qu'Hazel, 16 ans, se retrouve sous la responsabilité de Darrow, 28 ans, richissime playboy, ancien associé et ami de la défunte. Assez âgé pour être le tuteur légal, mais pas assez pour être définitivement mis hors compétition dans le coeur de la jeune fille. Très vite, la tension amoureuse s'installe entre les 2 jeunes gens, dans le secret. Car le danger est de taille. Quel juge maintiendrait la tutelle d'un homme dont on sait qu'il entretient une relation charnelle avec sa pupille ?
Ça pourrait paraitre un peu nauséabond et sordide, à l'heure où le mouvement MeToo prend de plus en plus d'ampleur, où les témoignages d'inceste et d'emprises psychologiques destructrices d'adulte sur mineurs affluent de toute part.
Mais la grande différence avec ces histoires abjectes, c'est que le consentement entre les deux protagonistes est réel et bien mis en valeur dans Sinner Love.
Bon, il est vrai qu'étant moi-même mariée à un homme de 15 ans mon ainé, la différence d'âge ne me pose pas de problème. Non le problème, comme il est d'ailleurs explicité au sein du roman, c'est le rapport d'autorité et de responsabilité de Darrow sur Hazel, que n'y l'un ni l'autre n'a voulu, qui va freiner un temps les ardeurs de l'adulte, qui a parfaitement conscience de la situation et qui d'ailleurs, ne cherche pas à en tirer profit.
Alors oui, ils ont l'air un peu parfait ces personnages, et si l'opulence et les descriptions de somptueuses demeures, de voitures de luxe, de fringues de créateurs ou de montres à 20 000 dollars m'ont un peu fait lever les yeux au ciel par moment ( tout ce luxe m'écoeure un peu), c'est une romance rafraichissante et agréable !
