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Critique de Phoenicia
Le volume 2 va paraître d'ici quelques mois. En attendant, l'histoire est bien plus en avance sur Webtoon. Les césures des volumes me semblent un peu arbitraires. Je pense qu'ils veulent un nombre moyen d'épisodes et le découpage n'arrive pas forcément à un moment de haute tension dramatique.
Ce volume 2 est dans la lignée du volume 1. Les échanges sont un peu simplets selon moi, il manque de réelle profondeur mais c'est un graphique, non pas un roman. Les planches doivent parler plus que les dialogues après tout... C'est donc contrebalancé par un graphisme à découvrir, notamment le travail sur la couleur qui est vraiment, pour moi, le point fort de ce comic.
Dans un univers contemporain, Rachel Smythe réécrit les mythes grecs. de par ce parti-pris, les histoires, enjeux, ne sont pas forcément les mêmes. On a des problématiques très contemporaines qui sont explorer au gré des planches.
Pour ce qui est de la romance, elle s'installe, doucement, sûrement. Prenez un gros mug de thé, pas de doutes ça va être long. Je pense que pour pouvoir intégrer un maximum d'histoires, Rachel Smythe ne va pas hésiter à utiliser des scénarii lambda pour ralentir le processus : triangle amoureux, scrupule sur l'âge, problèmes affectifs, avoir l'impression de ne pas intéresser l'autre, avoir l'impression de ne pas être à la hauteur de l'autre, etc. Il faut le savoir, on signe pour ça, donc pourquoi pas.
Pour les personnages, j'avoue toujours avoir une nette préférence pour Hadès dans sa psychologie. La naïveté de Perséphone est de mise, mais tout de même ça a tendance à être agaçant par moment.
Ce volume 2 est dans la lignée du volume 1. Les échanges sont un peu simplets selon moi, il manque de réelle profondeur mais c'est un graphique, non pas un roman. Les planches doivent parler plus que les dialogues après tout... C'est donc contrebalancé par un graphisme à découvrir, notamment le travail sur la couleur qui est vraiment, pour moi, le point fort de ce comic.
Dans un univers contemporain, Rachel Smythe réécrit les mythes grecs. de par ce parti-pris, les histoires, enjeux, ne sont pas forcément les mêmes. On a des problématiques très contemporaines qui sont explorer au gré des planches.
Pour ce qui est de la romance, elle s'installe, doucement, sûrement. Prenez un gros mug de thé, pas de doutes ça va être long. Je pense que pour pouvoir intégrer un maximum d'histoires, Rachel Smythe ne va pas hésiter à utiliser des scénarii lambda pour ralentir le processus : triangle amoureux, scrupule sur l'âge, problèmes affectifs, avoir l'impression de ne pas intéresser l'autre, avoir l'impression de ne pas être à la hauteur de l'autre, etc. Il faut le savoir, on signe pour ça, donc pourquoi pas.
Pour les personnages, j'avoue toujours avoir une nette préférence pour Hadès dans sa psychologie. La naïveté de Perséphone est de mise, mais tout de même ça a tendance à être agaçant par moment.
