Tout peut se ramener à deux choses : le samsara* et le nirvana*.
Ce qu’on appelle « samsara » a pour essence la vacuité*, pour apparence la méprise, et pour attribut premier la souffrance.
Ce qu’on appelle « nirvana » a pour essence la vacuité, pour apparence la fin de la méprise, et pour attribut premier la libération de toute souffrance.