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Critique de Lukabook
Déjà, pour ceux qui ne l'auraient pas remarqué, le titre est en rapport avec celui du tome précédent : Coeur du passé, Main du futur.
Commençons maintenant la critique : d'abord, Patrick Sobral s'est surpassé pour cette couverture, qui, je pense, est la meilleure de toutes pour l'instant ! On commence fort avec le réveil de Jadina à Casthell, obligée avec Razzia de s'allier à leurs ennemis et réciproquement... Pour ensuite lutter contre un autre antagoniste bien plus puissant qu'eux tous réunis.
Pour la première fois de la série, les Légendaires sont séparés, et on suit donc les péripéties de chaque groupe en parallèles, jusqu'à ce, qu'inévitablement, elles se rejoignent... On a droit, en quelques sortes, au préface du tome Origines de Danaël et Jadina, qui sont d'ailleurs tous deux très bien dessinés en adultes, ainsi que les Darkhellions. le principe d'emprisonner leurs victimes dans des blocs de glace est très bien trouvé à mes yeux. Ensuite, quand on voit Ténébris, on se demande comment un monstre au coeur de pierre comme Darkhell a pu en avoir une, mais, la série étant encore au stade enfantin, la plupart des lecteurs de l'époque n'ont pas dû se soucier de ça...
Repassons au groupe de Jadina et Razzia : le look de Darkhell était un peu trop sobre à mon goût, mais une fois sans son masque, c'est de la grande classe, ainsi que ses sortilèges maléfiques ! Mais là, boum, comme ça, d'un coup : Razzia n'est plus. de toute façon, on devine sa résurrection prochaine, mais la page suivante, qui s'adresse au lecteur... Je ne sais pas quoi dire. Les petits sketches de ce genre, comme dans le tome 3, passaient encore, mais là ! Toute l'ambiance est brisée d'un coup ! Elle sert tout juste de pont entre les deux scènes, étant donné que passer directement de "Razzia est mort !" au combat des Danaël contre Ténébris n'aurait pas eu un très bon rendu...
Mais heureusement, tout ça est rattrapé par la scène la plus spectaculaire de tous les tomes jusqu'à celui-là : l'écrasement de l'Hydarkos sur Casthell, digne des meilleurs films catastrophes. Les Légendaires tombent ensuite un à un sous les coups de l'antagoniste le plus puissant connu à ce jour (ou plutôt, le deuxième après le Gardien, qui n'a pas vraiment été un antagoniste), jusqu'au coup de théâtre d'Halan... Puis la chute de Danaël, et avec la sienne celle de de tous les Légendaires. Tous... Ou presque. Tous, sauf celle qui DEVAIT avoir le rôle majeur déterminant de ce diptyque depuis le début, le rôle qui réduirait à néant tous les autres et résoudrait définitivement le problème de base.
Et cette fois, tout est bon ! Tous les mystères sont résolus, les Légendaires ne sont jamais morts, le plan de Ceydeirom a échoué et il a eu la punition qu'il méritait ! Quand j'ai lu ce tome pour la première fois, je n'avais pas bien compris que Jadina avait oublié tout ce qui s'était passé elle aussi, ce qui, je ne sais pas si l'auteur l'a remarqué, nous évite un joli paradoxe temporel qui aurait pu détruire notre Alysia ! En effet, si tout cela n'a jamais eu lieu, Jadina n' a pas pu devenir Jadilyna et faire en sorte... Que tout cela n'ait jamais eu lieu ! Vous pouvez continuer comme ça pendant des heures, essayez donc, c'est très amusant...
Et enfin, même si ce n'est qu'un gag, je trouve un peu dommage de savoir à la dernière page de savoir à quel triste sort est condamné notre Alysia bien-aimée...
Commençons maintenant la critique : d'abord, Patrick Sobral s'est surpassé pour cette couverture, qui, je pense, est la meilleure de toutes pour l'instant ! On commence fort avec le réveil de Jadina à Casthell, obligée avec Razzia de s'allier à leurs ennemis et réciproquement... Pour ensuite lutter contre un autre antagoniste bien plus puissant qu'eux tous réunis.
Pour la première fois de la série, les Légendaires sont séparés, et on suit donc les péripéties de chaque groupe en parallèles, jusqu'à ce, qu'inévitablement, elles se rejoignent... On a droit, en quelques sortes, au préface du tome Origines de Danaël et Jadina, qui sont d'ailleurs tous deux très bien dessinés en adultes, ainsi que les Darkhellions. le principe d'emprisonner leurs victimes dans des blocs de glace est très bien trouvé à mes yeux. Ensuite, quand on voit Ténébris, on se demande comment un monstre au coeur de pierre comme Darkhell a pu en avoir une, mais, la série étant encore au stade enfantin, la plupart des lecteurs de l'époque n'ont pas dû se soucier de ça...
Repassons au groupe de Jadina et Razzia : le look de Darkhell était un peu trop sobre à mon goût, mais une fois sans son masque, c'est de la grande classe, ainsi que ses sortilèges maléfiques ! Mais là, boum, comme ça, d'un coup : Razzia n'est plus. de toute façon, on devine sa résurrection prochaine, mais la page suivante, qui s'adresse au lecteur... Je ne sais pas quoi dire. Les petits sketches de ce genre, comme dans le tome 3, passaient encore, mais là ! Toute l'ambiance est brisée d'un coup ! Elle sert tout juste de pont entre les deux scènes, étant donné que passer directement de "Razzia est mort !" au combat des Danaël contre Ténébris n'aurait pas eu un très bon rendu...
Mais heureusement, tout ça est rattrapé par la scène la plus spectaculaire de tous les tomes jusqu'à celui-là : l'écrasement de l'Hydarkos sur Casthell, digne des meilleurs films catastrophes. Les Légendaires tombent ensuite un à un sous les coups de l'antagoniste le plus puissant connu à ce jour (ou plutôt, le deuxième après le Gardien, qui n'a pas vraiment été un antagoniste), jusqu'au coup de théâtre d'Halan... Puis la chute de Danaël, et avec la sienne celle de de tous les Légendaires. Tous... Ou presque. Tous, sauf celle qui DEVAIT avoir le rôle majeur déterminant de ce diptyque depuis le début, le rôle qui réduirait à néant tous les autres et résoudrait définitivement le problème de base.
Et cette fois, tout est bon ! Tous les mystères sont résolus, les Légendaires ne sont jamais morts, le plan de Ceydeirom a échoué et il a eu la punition qu'il méritait ! Quand j'ai lu ce tome pour la première fois, je n'avais pas bien compris que Jadina avait oublié tout ce qui s'était passé elle aussi, ce qui, je ne sais pas si l'auteur l'a remarqué, nous évite un joli paradoxe temporel qui aurait pu détruire notre Alysia ! En effet, si tout cela n'a jamais eu lieu, Jadina n' a pas pu devenir Jadilyna et faire en sorte... Que tout cela n'ait jamais eu lieu ! Vous pouvez continuer comme ça pendant des heures, essayez donc, c'est très amusant...
Et enfin, même si ce n'est qu'un gag, je trouve un peu dommage de savoir à la dernière page de savoir à quel triste sort est condamné notre Alysia bien-aimée...
