Du noir, brutal et sec, sans concession pour la société slovaque gangrenée par une corruption généralisée. Virevoltant dans une violence partagée par tous les personnages,
Il était une fois dans l'Est ou le récit d'un ratage dégueulasse puis d'une revanche comme ultime rebondissement.
Arpád Soltész joue de son intrigue emmêlée, de ses très brusques changements de points de vue et de personnage en virtuose. On se laisse happer par la très grande noirceur de cette histoire de trafic d'être humain.
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