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Critique de Esorlecram
Une équipe scientifique fait une découverte extraordinaire : elle arrive à maîtriser les « cordes du temps », à visualiser les images du passé contenues dans ces cordes. Ces apprentis sorciers apprendront à leurs dépens qu'on ne manipule pas impunément l'univers !
En partant d'une théorie existante de physique quantique, qui tente de trouver une « passerelle » entre la description globale de l'univers et l'étude microscopique des particules, l'auteur voudrait nous tenir en haleine pendant les 600 pages de ce thriller.
Malheureusement, à force d' en faire trop, il est loin d'atteindre son but.
Au début, la sauce a l'air de prendre, bien que l'on soit vite lassé de rencontrer toutes les dix lignes un mot, une expression, imprimés en italique pour suggérer un mystère, une catastrophe imminente, qui ne débouchent jamais sur quelque chose de concret.
Puis vient le développement des travaux effectués par les chercheurs, qui aboutissent à des phénomènes de plus en plus étranges, confus, voire farfelus : on est loin de la bonne science-fiction. Somoza essaye dans le dernier quart du bouquin d'expliquer ces phénomènes, toujours dans un contexte de terreur , mais il réussit alors à ennuyer le lecteur qui ira sans doute au bout ce ces 600 pages pour savoir qui est ce monstre « Zigzag » , sorte de double fantomatique d'un être vivant, que plus personne ne peut contrôler et qui tue autour de lui.
En partant d'une théorie existante de physique quantique, qui tente de trouver une « passerelle » entre la description globale de l'univers et l'étude microscopique des particules, l'auteur voudrait nous tenir en haleine pendant les 600 pages de ce thriller.
Malheureusement, à force d' en faire trop, il est loin d'atteindre son but.
Au début, la sauce a l'air de prendre, bien que l'on soit vite lassé de rencontrer toutes les dix lignes un mot, une expression, imprimés en italique pour suggérer un mystère, une catastrophe imminente, qui ne débouchent jamais sur quelque chose de concret.
Puis vient le développement des travaux effectués par les chercheurs, qui aboutissent à des phénomènes de plus en plus étranges, confus, voire farfelus : on est loin de la bonne science-fiction. Somoza essaye dans le dernier quart du bouquin d'expliquer ces phénomènes, toujours dans un contexte de terreur , mais il réussit alors à ennuyer le lecteur qui ira sans doute au bout ce ces 600 pages pour savoir qui est ce monstre « Zigzag » , sorte de double fantomatique d'un être vivant, que plus personne ne peut contrôler et qui tue autour de lui.
