Elles se sont mises à deux pour écrire, l'une après l'autre, parties alternées.
Ca parle d'un type qui vient travailler sur un barrage dans une atmosphère absurde de désolation et de rendez-vous raté. Et cela alterne avec l'époque de l'évacuation du village englouti.
Cela a des relents de déjà-lu pour l'aspect village englouti, c'est un peu mince, un peu vain et inabouti au final. Même s'il y a un certain plaisir de l'instant grâce à la si belle et personnelle écriture de Maylis de
Kerangal, cela reste un exercice de style.
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