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Critique de Crazynath
Se balader sur Babelio peut être vraiment source de découvertes !
Comme beaucoup de lecteurs, j'ai lu ce bouquin lors de mon adolescence, en quatrième plus precisement car notre prof de français estimait qu'il fallait lire autre chose que du classique. Cette herbe bleue a été lue, commentée, décortiquée, analysée, et là j'apprends que ce journal est un faux !!
J'avoue que cela laisse une sensation bizarre, car depuis plusieurs décennies, ce que je croyais savoir au sujet de ce livre était un leurre...
Ce livre m'avait évidemment marqué car à l'époque je vivais dans ma petite bulle et réaliser jusqu'où le mal être des jeunes peut les entrainer avait été un choc ...
Alors voila, maintenant j'ai grandi et je me rend compte qu'on peut manipuler les gens à travers des livres car il y a quelques temps déjà j'avais découvert ( sur Babelio aussi ) que c'était Philippe Labro qui avait écrit un non moins célèbre journal d'adolescente vers la même époque " Des cornichons au chocolat".
La question qui peut se poser est plutôt commerciale : est ce que ces livres auraient eu le même succès si on avait connu dès le départ leurs auteurs et su que ce n'était que des fictions et non des véritables journaux ?
Comme beaucoup de lecteurs, j'ai lu ce bouquin lors de mon adolescence, en quatrième plus precisement car notre prof de français estimait qu'il fallait lire autre chose que du classique. Cette herbe bleue a été lue, commentée, décortiquée, analysée, et là j'apprends que ce journal est un faux !!
J'avoue que cela laisse une sensation bizarre, car depuis plusieurs décennies, ce que je croyais savoir au sujet de ce livre était un leurre...
Ce livre m'avait évidemment marqué car à l'époque je vivais dans ma petite bulle et réaliser jusqu'où le mal être des jeunes peut les entrainer avait été un choc ...
Alors voila, maintenant j'ai grandi et je me rend compte qu'on peut manipuler les gens à travers des livres car il y a quelques temps déjà j'avais découvert ( sur Babelio aussi ) que c'était Philippe Labro qui avait écrit un non moins célèbre journal d'adolescente vers la même époque " Des cornichons au chocolat".
La question qui peut se poser est plutôt commerciale : est ce que ces livres auraient eu le même succès si on avait connu dès le départ leurs auteurs et su que ce n'était que des fictions et non des véritables journaux ?
