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Critique de Diabolau
Après la défaite de Koursk, c'est maintenant la retraite à travers l'Ukraine, avec son lot d'exactions. On suit toujours la quatuor Kessler, Werner, Hartmann, et Kruger, les trois derniers se ressemblant comme des gouttes d'eau sous leur casque, excepté peut-être Hartmann qui a le nez plus busqué, mais ça ne facilite quand même pas les choses.
Les scènes dans la neige sont bien rendues, mais on est toujours dans la chronique, les textes sont petits, parfois trop chargés, pour dire des choses pas toujours utiles ou intéressantes.
Le plaquage d'informations historiques n'est pas toujours très discret ("ben dis donc, vous en savez des choses, Krüger, où est-ce que vous avez appris tout ça ?"... Ben oui, en effet, on se demande bien comment un simple bidasse au milieu de l'Ukraine peut être au courant des revers de Rommel en Afrique du Nord).
Les ellipses sont également fréquentes et souvent décevantes, donnant des impressions de rupture brutale en pleine action.
Bref, ça va pas vraiment dans le sens de l'amélioration.
Les scènes dans la neige sont bien rendues, mais on est toujours dans la chronique, les textes sont petits, parfois trop chargés, pour dire des choses pas toujours utiles ou intéressantes.
Le plaquage d'informations historiques n'est pas toujours très discret ("ben dis donc, vous en savez des choses, Krüger, où est-ce que vous avez appris tout ça ?"... Ben oui, en effet, on se demande bien comment un simple bidasse au milieu de l'Ukraine peut être au courant des revers de Rommel en Afrique du Nord).
Les ellipses sont également fréquentes et souvent décevantes, donnant des impressions de rupture brutale en pleine action.
Bref, ça va pas vraiment dans le sens de l'amélioration.
