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Critique de garanemsa
Spindler Erica
L'ombre pourpre
Survivre depuis que sa mère l'abandonnée à l'âge de 12 ans, Skye n'a fait que cela, survivre malgré la pauvreté, le désespoir, malgré la perte et les sombres fantômes ainsi que ce sentiment d'abandon qui ne l'a pas quitté depuis et qui rôdent derrière l'écran opaque de sa mémoire.
Aujourd'hui, à l'âge adulte, elle veut savoir, découvrir la vérité, pourquoi sa mère qui paraissait tant l'aimer a pu l'arracher à sa riche famille pour finalement la laisser seule sur le chemin de l'existence.
Elle ignore qu'en remontant le fil qui la ramène vers le passé qu'elle va se trouver prise au pièce d'un labyrinthe soigneusement construit où l'attend quelqu'un qui depuis sa naissance lui voue une passion maladive, un être pervers et cruel qui guette patiemment sa proie, un homme fascinant auquel elle se sent attirée presque malgré elle en dépit de l'effroi instinctif qu'il lui inspire
Ainsi dit le 4ème de couverture
Énorme livre lu en peu de temps, c'est du style Danièle Steel
On lit le début, un peu au milieu et on devine la suite
Mais pour se délasser et ne pas réfléchir, c'est bien écrit, donc relax oblige
L'ombre pourpre
Survivre depuis que sa mère l'abandonnée à l'âge de 12 ans, Skye n'a fait que cela, survivre malgré la pauvreté, le désespoir, malgré la perte et les sombres fantômes ainsi que ce sentiment d'abandon qui ne l'a pas quitté depuis et qui rôdent derrière l'écran opaque de sa mémoire.
Aujourd'hui, à l'âge adulte, elle veut savoir, découvrir la vérité, pourquoi sa mère qui paraissait tant l'aimer a pu l'arracher à sa riche famille pour finalement la laisser seule sur le chemin de l'existence.
Elle ignore qu'en remontant le fil qui la ramène vers le passé qu'elle va se trouver prise au pièce d'un labyrinthe soigneusement construit où l'attend quelqu'un qui depuis sa naissance lui voue une passion maladive, un être pervers et cruel qui guette patiemment sa proie, un homme fascinant auquel elle se sent attirée presque malgré elle en dépit de l'effroi instinctif qu'il lui inspire
Ainsi dit le 4ème de couverture
Énorme livre lu en peu de temps, c'est du style Danièle Steel
On lit le début, un peu au milieu et on devine la suite
Mais pour se délasser et ne pas réfléchir, c'est bien écrit, donc relax oblige
