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Critique de Penelopee
Découverte par hasard, cette énième histoire autour du personnage de Sherlock Holmes... m'a tenté mais je ne sais plus pourquoi.
L'envie de lire quelque chose qui ne prenne pas la tête et ne soit pas trop effrayante.
Le héro principal est une demoiselle de 14 ans, prénommée Enola (et qui ne cesse de dire la signification de son prénom... et maintes pleurnicheries un peu agaçantes sur la première moitié du livre).
J'ai eu du mal à me faire à ce personnage.
La première disparition est la mère d'Enola. Qui pour l'anniversaire de sa fille lui fait le cadeau de filer à l'anglaise.
La moitié du livre se concentre sur les détails (lassants) de la mode féminine et artifices divers (rembourrages, corsets). Pourquoi tant de détails ?
Je n'ai plus 20 ans mais sans pour autant être assez âgée pour avoir connu l'ère victorienne... je me doute un peu que la mode n'est plus la même et que désormais les demoiselles n'ont plus à souffrir un corset pour plaire à un futur beau parti. Sans parler du mouvement "suffragette" (et non "suffragiste")... enfin bon, la traductrice ne doit pas connaître le mot suffragette.
Deuxième moitié du livre, enfin... oui, enfin, elle se bouge la gamine.
Fini de pleurnicher, elle fugue.
Et là, cela devient plus intéressant. Enfin.
Les frères sont apparus vers les pages 120... environ. Et on en apprend peu sur eux. Et eux sur leur soeur.
C'est là, le détail qui aidera Enola à leur échapper...
Je n'en dirai pas plus pour éviter d'en dire trop, mais l'histoire prend forme enfin. Hâte de lire la suite.
L'envie de lire quelque chose qui ne prenne pas la tête et ne soit pas trop effrayante.
Le héro principal est une demoiselle de 14 ans, prénommée Enola (et qui ne cesse de dire la signification de son prénom... et maintes pleurnicheries un peu agaçantes sur la première moitié du livre).
J'ai eu du mal à me faire à ce personnage.
La première disparition est la mère d'Enola. Qui pour l'anniversaire de sa fille lui fait le cadeau de filer à l'anglaise.
La moitié du livre se concentre sur les détails (lassants) de la mode féminine et artifices divers (rembourrages, corsets). Pourquoi tant de détails ?
Je n'ai plus 20 ans mais sans pour autant être assez âgée pour avoir connu l'ère victorienne... je me doute un peu que la mode n'est plus la même et que désormais les demoiselles n'ont plus à souffrir un corset pour plaire à un futur beau parti. Sans parler du mouvement "suffragette" (et non "suffragiste")... enfin bon, la traductrice ne doit pas connaître le mot suffragette.
Deuxième moitié du livre, enfin... oui, enfin, elle se bouge la gamine.
Fini de pleurnicher, elle fugue.
Et là, cela devient plus intéressant. Enfin.
Les frères sont apparus vers les pages 120... environ. Et on en apprend peu sur eux. Et eux sur leur soeur.
C'est là, le détail qui aidera Enola à leur échapper...
Je n'en dirai pas plus pour éviter d'en dire trop, mais l'histoire prend forme enfin. Hâte de lire la suite.
