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Critique de BazaR


BazaR
23 novembre 2016
Troisième volume de « Amazing Spider-Man Marvel Masterworks » consacré aux publications de l'année 1965, soit 12 épisodes et un annual.

Stan Lee et Steve Ditko sont toujours aux commandes et font vivre aussi bien le héros que le jeune Peter Parker. Côté héros, de nouveaux vilains issus d'une collection d'entomologiste apparaissent : le Scarabée, le Scorpion. L'éditeur du Daily Bugle J.J. Jameson s'offre un robot pour capturer le monte-en-l'air, et le Bouffon Vert continue à faire jeu égal avec Spider-Man, ainsi qu'un groupe de voleurs particulièrement bien organisé dont on ne connaît pas le nom.

Côté vie civile, c'est plutôt compliqué. En dehors des problèmes domestiques du genre « Zut, mon costume de Spider-Man n'est pas sec, je ne peux pas aller arpenter les toits », Peter Parker voit ses deux « girlfriends » potentielles lui claquer dans les doigts. Betty Brant s'entiche du journaliste Ned Leeds — tellement sympa que Peter ne trouve pas d'angle pour le détester — et Liz Allen se rend compte qu'elle ne compte pas vraiment pour lui. La fin du lycée sonnera la séparation avec Liz, mais Peter doit continuer à côtoyer Betty au Daily Bugle où il vend ses photos de Spider-Man.
Puis Peter rentre à l'Université. Et c'est l'introduction des célèbres seconds rôles Harry Osborn et, surtout, de Gwen Stacy. Gwen essaie de se faire remarquer de Peter qui, perturbé par les problèmes de santé de sa tante May, ne voit personne autour de lui. Sa réputation est faite en un jour : prétentieux, snob. Mauvais début.

Enfin l'annual nous emmène dans l'univers délirant du Dr. Strange, à l'époque également dessiné par Ditko.

Du très bon cru sublimé par ma nostalgie d'une époque où j'étais jeune !
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