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Critique de Glass
Cet essai de a le mérite de poser sur la table un sujet dont on commence seulement à parler. L'auteure expose l'injustice d'avoir depuis toujours projeté les femmes dans une sorte de relégation à compter de la période de la ménopause alors qu'elles en sont à la moitié de leur espérance de vie !
Perdre la fécondité les rendrait inutiles socialement et donc discréditées dans ce champ social.
Elle parle aussi clairement de la péri-ménopause ou du climatère qui englobe cette période beaucoup plus vaste et innomée dans la vie des femmes.
On prend conscience que les femmes sont très peu accompagnées dans le vécu de tous ces changements, y compris par le milieu médical.
Ce livre a le mérite de mettre des mots sur le vécu innomé des toutes les femmes. Reste une petite déception car au final on ne découvre rien de ce qu'on ne sait déjà en tant que femme.
Ce type d'ouvrage demeure néanmoins nécessaire pour mettre en avant, avec un ton humoristique très agréable, des sujets de santé purement féminins qui étaient jusqu'à présent maintenus sous un voile pudique !
Perdre la fécondité les rendrait inutiles socialement et donc discréditées dans ce champ social.
Elle parle aussi clairement de la péri-ménopause ou du climatère qui englobe cette période beaucoup plus vaste et innomée dans la vie des femmes.
On prend conscience que les femmes sont très peu accompagnées dans le vécu de tous ces changements, y compris par le milieu médical.
Ce livre a le mérite de mettre des mots sur le vécu innomé des toutes les femmes. Reste une petite déception car au final on ne découvre rien de ce qu'on ne sait déjà en tant que femme.
Ce type d'ouvrage demeure néanmoins nécessaire pour mettre en avant, avec un ton humoristique très agréable, des sujets de santé purement féminins qui étaient jusqu'à présent maintenus sous un voile pudique !
