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Critique de nanonoel
Je trouve que chaque épisode est meilleur que le précédent, sans doute en raison du plaisir qu'on éprouve à retrouver à chaque fois la fine équipe, son humour, son insolence et... ses problèmes. Soucis qui tendent à se complexifier au fil des histoires, ce qui les rend d'autant plus addictives. J'ai adoré ce tome même si je l'ai à nouveau trouvé trop court. Mais comme c'est une réflexion récurrente, que je fais à chaque fois que je lis un roman de MR Stevens (même quand on me dit que ce sont des pavés ! Mais sans doute qu'on me ment !) on va dire que c'est un "défaut" insoluble, inhérent à cette plume séduisante et impertinente que j'adore.
Je ne vais pas évoquer l'histoire car vous n'avez qu'à la lire (ainsi que les précédentes, c'est mieux ! Na !) et c'est difficile de résumer sans spoiler ne serait-ce qu'un peu. Vous avez juste besoin de savoir que nos combattants sont très énervés et qu'un autre des membres de l'équipe va trouver l'amour (ou pas). Après tout, ces récits restent des romances, bourrées de testostérone, avec une pointe (ou plus, si affinités) de domination/soumission. J'en profite d'ailleurs pour évoquer un des talents de l'auteure, sa manière bien à elle de dessiner des scènes bdsm décomplexées, passionnées, parfois dures et violentes mais toujours aimantes. C'est un art qu'elle maîtrise à la perfection, distillant de l'amour et de l'humour au plus profond de la scène la plus hard. Et comme ses personnages sont toujours audacieux, irrévérencieux, provoquants, et même parfois indécents, cela conduit à des situations qui oscillent entre cocasses et jouissives. Un combo parfait pour un moment parfait, en fait...
Je ne vais pas évoquer l'histoire car vous n'avez qu'à la lire (ainsi que les précédentes, c'est mieux ! Na !) et c'est difficile de résumer sans spoiler ne serait-ce qu'un peu. Vous avez juste besoin de savoir que nos combattants sont très énervés et qu'un autre des membres de l'équipe va trouver l'amour (ou pas). Après tout, ces récits restent des romances, bourrées de testostérone, avec une pointe (ou plus, si affinités) de domination/soumission. J'en profite d'ailleurs pour évoquer un des talents de l'auteure, sa manière bien à elle de dessiner des scènes bdsm décomplexées, passionnées, parfois dures et violentes mais toujours aimantes. C'est un art qu'elle maîtrise à la perfection, distillant de l'amour et de l'humour au plus profond de la scène la plus hard. Et comme ses personnages sont toujours audacieux, irrévérencieux, provoquants, et même parfois indécents, cela conduit à des situations qui oscillent entre cocasses et jouissives. Un combo parfait pour un moment parfait, en fait...
