"Une apologie des oisifs" qui annonce "l'éloge de l'oisiveté" de Russell. Ce qui est étonnant, c'est de lire dans Causerie et Causeurs qui suit cette première partie que "[...] les vertus résident toutes dans l'action, la vie est mouvement, et c'est par l'oisiveté que les hommes se préparent au mal." Alors quoi, Bob ?! Il faut se décider : l'oisiveté est la seule source de vraie connaissance ou c'est la porte ouverte vers l'enfer ?
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