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Critique de Lucilou
Il fallait oser, Isabelle Stibbe l'a fait.
Son héroïne a été nourrie avec les romans d'Alexandre le Grand et, bien qu'en couple avec un charmant professeur de lettres, voue un amour (littéraire) à Athos, compagnon le plus charismatique de (mon cher) D'Artagnan. Ainsi, quand elle a trouvé un appartement situé rue Férou, la rue d'Athos avec trois siècles d'écart, elle s'y est installée.
A l'issu d'une agression, la voici qui se réveille au XVII°siècle, non loin de chez Athos qui la recueille, sans savoir qu'elle est une femme et qui l'entraîne dans ses aventures.
Ce livre, je suis tombée dessus par hasard en librairie. Attirée par le titre, j'ai parcouru le résumé.
Premier bon point: il parle des Mousquetaires (et comment dire... Les Mousquetaires et Alexandre Dumas, c'est mon point faible, mon talon d'Achille...).
Second bon point: l'idée est fantaisiste en Diable, romanesque, pétillante.
Troisième bon point: J'avais beaucoup aimé "Bérénice 34-44" de l'auteur.
Ni une, ni deux, je repartais avec le roman que j'ai dévoré dans la foulée.
ça pétille, ça cavalcade, ça fait rêver... et Dumas est tout proche.
Un vrai plaisir, une friandise littéraire.
Son héroïne a été nourrie avec les romans d'Alexandre le Grand et, bien qu'en couple avec un charmant professeur de lettres, voue un amour (littéraire) à Athos, compagnon le plus charismatique de (mon cher) D'Artagnan. Ainsi, quand elle a trouvé un appartement situé rue Férou, la rue d'Athos avec trois siècles d'écart, elle s'y est installée.
A l'issu d'une agression, la voici qui se réveille au XVII°siècle, non loin de chez Athos qui la recueille, sans savoir qu'elle est une femme et qui l'entraîne dans ses aventures.
Ce livre, je suis tombée dessus par hasard en librairie. Attirée par le titre, j'ai parcouru le résumé.
Premier bon point: il parle des Mousquetaires (et comment dire... Les Mousquetaires et Alexandre Dumas, c'est mon point faible, mon talon d'Achille...).
Second bon point: l'idée est fantaisiste en Diable, romanesque, pétillante.
Troisième bon point: J'avais beaucoup aimé "Bérénice 34-44" de l'auteur.
Ni une, ni deux, je repartais avec le roman que j'ai dévoré dans la foulée.
ça pétille, ça cavalcade, ça fait rêver... et Dumas est tout proche.
Un vrai plaisir, une friandise littéraire.
