Dans ce deuxième tome, j'ai retrouvé avec beaucoup de plaisir les personnages hauts en couleur créés par
Marcel Pagnol, qui gagnent ici en complexité (notamment Ugolin dont on perçoit la sensibilité et Jean de Florette, sa faiblesse pour le vin...).
Cette histoire garde tout son sens aujourd'hui, notamment avec le réchauffement climatique qui amènera sûrement son lot de tensions autour de l'enjeu de l'eau...
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