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Critique de Zalie
Tout le monde, ou presque a vu les films inspirés de l'histoire de Dracula. Voilà longtemps que je souhaitais lire la version originelle, le roman de Bram Stoker. C'est chose faite et je dois dire que je ne le regrette pas. J'ai identifié trois parties dans ce roman.
D'abord, le séjour de Jonathan Harker chez le Comte Dracula. C'est la partie que j'ai trouvée la mieux écrite au sens où j'ai frissonné, voire flippé pendant ma lecture. Cette façon d'écrire qu'avaient les grands auteurs britanniques au XIXème ! L'air de rien, Bram Stoker distille la peur au travers de descriptions ciselées. le jeune Jonathan Harker écrit son journal au quotidien et nous le fait partager, se demandant sans cesse s'il sortira vivant de la demeure du Comte. Il nous expose ses découvertes et ses expériences, glaçantes.
La seconde partie tourne autour de Lucie ; jeunesse amoureuse qui attend son promis. C'est par elle, ses anémies inexpliquées et ses comportements étranges que le Dr van Helsing identifiera le vampirisme, à force de transfusions. Cette seconde partie est plutôt construite comme une enquête policière. van Helsing recueille des indices comme autant de pièces de puzzle qu'il devra ensuite assembler.
Enfin, la dernière partie se concentre sur Mina Harker, jeune épouse de Jonathan. Dans ces chapitres, van Helsing convainc ses partenaires de l'existence des non-morts et de la nécessité d'éliminer le Comte Dracula. le roman se termine alors sur un récit de courses poursuites et de batailles, pendant que Dracula lui-même se rapproche de Mina.
Je comprends pourquoi Dracula est considéré comme un chef-d'oeuvre de la littérature britannique. C'est un récit véritablement envoûtant que l'on ne lâche. Je n'avais jamais ressenti de frayeur en lisant, c'est chose faite.
D'abord, le séjour de Jonathan Harker chez le Comte Dracula. C'est la partie que j'ai trouvée la mieux écrite au sens où j'ai frissonné, voire flippé pendant ma lecture. Cette façon d'écrire qu'avaient les grands auteurs britanniques au XIXème ! L'air de rien, Bram Stoker distille la peur au travers de descriptions ciselées. le jeune Jonathan Harker écrit son journal au quotidien et nous le fait partager, se demandant sans cesse s'il sortira vivant de la demeure du Comte. Il nous expose ses découvertes et ses expériences, glaçantes.
La seconde partie tourne autour de Lucie ; jeunesse amoureuse qui attend son promis. C'est par elle, ses anémies inexpliquées et ses comportements étranges que le Dr van Helsing identifiera le vampirisme, à force de transfusions. Cette seconde partie est plutôt construite comme une enquête policière. van Helsing recueille des indices comme autant de pièces de puzzle qu'il devra ensuite assembler.
Enfin, la dernière partie se concentre sur Mina Harker, jeune épouse de Jonathan. Dans ces chapitres, van Helsing convainc ses partenaires de l'existence des non-morts et de la nécessité d'éliminer le Comte Dracula. le roman se termine alors sur un récit de courses poursuites et de batailles, pendant que Dracula lui-même se rapproche de Mina.
Je comprends pourquoi Dracula est considéré comme un chef-d'oeuvre de la littérature britannique. C'est un récit véritablement envoûtant que l'on ne lâche. Je n'avais jamais ressenti de frayeur en lisant, c'est chose faite.
