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Critique de brigittelascombe
"Prendre un grand verre de whisky et commencer la lecture...Finir la bouteille de wisky, après lecture, en pensant à Valérie, Olivier et Vincent qui te souhaitent un joyeux anniversaire!" Telle est l'annotation manuscrite que j'ai trouvée sur un Tous fous à partir de 60 ans.
Effectivement, après lecture, le fêtard en question, frais émoulu de son diplôme de sexagénaire passé sans nul doute hauts les coeurs, a du avoir besoin d'un quelconque remontant pour faire front à l'humour mordant et moqueur de Bill Stott.
Citations littéraires ironiques à l'appui légères (ex: "Le signe de la vieillesse,c'est quand on loue le passé aux dépens du présent" signé Sydney Smith) ou plus lourdes (ex: "Vieux? Non,c'est seulement sa moumoute qui a grisonné" signé Léopold Fechtner), les dessins doux-amers de Bill Stott (façon Claire Brétécher avec mimiques caricaturales, trait expressif et bulles ironiques) sont à prendre au second degré bien sûr. ....mais lifting, check-up, viagra,séances de kiné,appareils dentaires,perruque,remise en forme...sont à envisager pour pallier les effets néfastes du vieillissement.
Désordres du temps qui passe, oui, mais aussi vannes d'un entourage qui lui se trouve encore jeune alors qu'il ne l'est pas forcément.
Ce qui donne des vacheries style: "Ils n'ont pas voulu me servir. Ils ont dit que je n'étais pas assez vieille.C'est toi qui devrait y aller." ou gaffes du genre :"Je trouve que la soixantaine te vas bien tu as toujours eu un visage de vieux".
Comique de situations, comique de dialogues,comique d'expressions...on rit, même si le rire est souvent jaune.
Tous fous à partir de 60 ans, est à mon avis, une sorte de bizutage pour aider à passer le cap des séniors et se dire, comme Mackenzie: "C'est marrant..On n'est jamais trop vieux pour apprendre de nouvelles façons de faire l'idiot."
Effectivement, après lecture, le fêtard en question, frais émoulu de son diplôme de sexagénaire passé sans nul doute hauts les coeurs, a du avoir besoin d'un quelconque remontant pour faire front à l'humour mordant et moqueur de Bill Stott.
Citations littéraires ironiques à l'appui légères (ex: "Le signe de la vieillesse,c'est quand on loue le passé aux dépens du présent" signé Sydney Smith) ou plus lourdes (ex: "Vieux? Non,c'est seulement sa moumoute qui a grisonné" signé Léopold Fechtner), les dessins doux-amers de Bill Stott (façon Claire Brétécher avec mimiques caricaturales, trait expressif et bulles ironiques) sont à prendre au second degré bien sûr. ....mais lifting, check-up, viagra,séances de kiné,appareils dentaires,perruque,remise en forme...sont à envisager pour pallier les effets néfastes du vieillissement.
Désordres du temps qui passe, oui, mais aussi vannes d'un entourage qui lui se trouve encore jeune alors qu'il ne l'est pas forcément.
Ce qui donne des vacheries style: "Ils n'ont pas voulu me servir. Ils ont dit que je n'étais pas assez vieille.C'est toi qui devrait y aller." ou gaffes du genre :"Je trouve que la soixantaine te vas bien tu as toujours eu un visage de vieux".
Comique de situations, comique de dialogues,comique d'expressions...on rit, même si le rire est souvent jaune.
Tous fous à partir de 60 ans, est à mon avis, une sorte de bizutage pour aider à passer le cap des séniors et se dire, comme Mackenzie: "C'est marrant..On n'est jamais trop vieux pour apprendre de nouvelles façons de faire l'idiot."
