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Critique de florencem


Un tome huit qui montre de plus en plus combien Daisuké et Dark sont liés, et pas seulement à cause de leurs destins. Je trouve qu'il aurait été très dommage de la part de Yukiru Sugisaki de ne pas développer cette relation, car, elle est en partie ce qui rend l'histoire de plus en plus intéressante. Il est d'ailleurs difficile de s'imaginer que ces deux personnages pourront un jour vivre l'un sans l'autre, tant leurs vies sont intimement liées.

Pour ce tome-là, on poursuit bien évidemment ce qu'il s'était passé dans le tome sept. Pour une fois, Dark se retrouve seul, démuni face au danger qui guette Daisuké. Mais c'est dans ces moments-là qu'il nous montre toute sa force et la volonté qu'il a de protéger son alter ego. Il a d'ailleurs pour nom Dark, mais comparé à Krad et sa relation avec Hiwatari, je trouve son nom très mal choisi (en quelque sorte), car celui qui a le plus de noirceur est bien l'alter ego d'Hiwatari. C'est d'ailleurs un personnage que je trouve très malsain, d'autant plus qu'il a une apparence assez angélique.

Niwa lui apprend plusieurs choses qui le marqueront à vie. Les moments qu'il passe avec Freedert sont très tristes, mais en même temps très instructifs. Je ne sais pas si Daisuké en tirera des leçons, mais Yukiru Sugisaki nous offre un moment magnifique entre ces deux personnages.

Les jumelles, quant à elles, me font sourire. Je n'irais pas jusqu'à dire que leur situation est drôle, mais le fait qu'elles aiment, si l'on puit dire, la même personne, sans s'en rendre compte à un côté assez comique. Reste à espérer que ce quatuor amoureux pourra un jour avoir une fin heureuse.
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