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Critique de Bouvy


Bouvy
04 février 2016
L'inspecteur Kobayashi Yôsuke est un profileur de génie. Jusqu'au jour où, traquant un dangereux psychopathe, ce dernier lui envoie sur son lieu de travail une glacière contenant sa petite amie démembrée et maintenue artificiellement en vie. Il finit par arrêter le déséquilibré criminel. Pendant qu'il le braque, il déclare qu'il est mort et qu'il s'appelle maintenant Amamiya Kazuhiko et abat froidement l'assassin de sa fiancée. Libéré quelques années plus tard, il est embauché par la jolie Machi, qui vient de démissionner de la police pour fonder son institut de criminologie. Amamiya est régulièrement consulté par la police et ses anciens collègues pour découvrir d'autres tueurs en série et résoudre les enquêtes de leurs crimes. Étonnamment, Amamiya découvre que tous les psychopathes ont un code-bar tatoué sur le blanc de l'oeil gauche et que lui-même possède le même tatouage que tous les serial killer.

Ce manga est surprenant à plus d'un titre. Après en avoir découvert par hasard un extrait sur Amazon, j'ai téléchargé le premier tome d'une série qui semble longue.
D'abord le dessin, épuré, une ligne claire, précis, des paysages presque absents pour mettre en valeur les personnages. Nous ne retrouvons pas les standards habituels, pas d'attitudes comiques ou ridicules, des faciès avec peu d'expression, juste ce qu'il faut pour comprendre se que ressentent les individus de l'histoire.
Ensuite le scénario, fouillé, plein de suspens. Nous sommes dans un roman noir,,un thriller de haut vol.
Attention, l'histoire est assez glauque. Les victimes ne sont pas suggérées mais dessinées sans concession. Ce manga est à réserver à un public d'adulte. Il est annoncé déconseillé aux moins de 16 ans. Il n'est pas sans rappeler le film «Seven ».
Bref, j'accroche et je pense que je vais me lancer dans la poursuite de cette intéressante saga.
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