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Critique de Yvan_T
Ce septième tome poursuit notre immersion au sein du monde des bôsôzoku, ces voyous qui font hurler leurs motos en ville lors de rassemblements nocturnes.
Parfaitement intégré dans l'univers des furyôs, Takeshi Kase parade au sein des nombreux motards qui s'y sentent invulnérables. Au lever du jour, c'est cependant un dur retour à la réalité qui attend les membres des Zéros.
Ce septième volume est d'ailleurs entièrement dédié à la destinée tragique de deux protagonistes et aux répercussion de ce drame sur les membres des Zéros et sur Takeshi Kase en particulier. Si cet épisode permet de confronter le lecteur aux dangers de la pratique de la moto, il permet surtout à Tsutomu Takahashi d'accélérer la chute de son héros, déjà tourmenté par une atmosphère familiale catastrophique et une relation affective qui bat de l'aile. le développement psychologique de Takeshi demeure donc intéressant et la perte d'un personnage auquel le lecteur s'était attaché ne laisse pas non plus indifférent.
Ce tome au découpage très aéré et riche en scènes muettes, se lit très vite, tout en poursuivant l'autodestruction de ce jeune homme qui n'avait pourtant rien d'un voyou il y a sept tomes.
Parfaitement intégré dans l'univers des furyôs, Takeshi Kase parade au sein des nombreux motards qui s'y sentent invulnérables. Au lever du jour, c'est cependant un dur retour à la réalité qui attend les membres des Zéros.
Ce septième volume est d'ailleurs entièrement dédié à la destinée tragique de deux protagonistes et aux répercussion de ce drame sur les membres des Zéros et sur Takeshi Kase en particulier. Si cet épisode permet de confronter le lecteur aux dangers de la pratique de la moto, il permet surtout à Tsutomu Takahashi d'accélérer la chute de son héros, déjà tourmenté par une atmosphère familiale catastrophique et une relation affective qui bat de l'aile. le développement psychologique de Takeshi demeure donc intéressant et la perte d'un personnage auquel le lecteur s'était attaché ne laisse pas non plus indifférent.
Ce tome au découpage très aéré et riche en scènes muettes, se lit très vite, tout en poursuivant l'autodestruction de ce jeune homme qui n'avait pourtant rien d'un voyou il y a sept tomes.
