Pour lire
Génocide(s), il faut vraiment s'accrocher. Et s'accrocher à tous les point de vue !
Le roman croisent les domaines de la géopolitique mondiale, la conception de médicaments, l'anthropologie scientifique, et les services secrets américains. Intellectuellement, il faut s'accrocher. le titre est transparent, il parle aussi de guerres, de "micro-
génocides" et alors là, c'est moralement qu'il faut s'accrocher !
En fait, ce roman est une vaste interrogation sur la nature de humanité : bonne ou mauvaise ? Paradis ou enfer ? Évidemment le roman a le bon goût de se terminer sans donner de réponse précise, mais il y a forcément du remous à l'intérieur de soi...
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