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Critique de dancingbrave
Une belle histoire et un acte manqué de réincarnation qui s'inscrit bien dans l'univers religieux japonais.
J'ai commencé par être surpris par cet opus de Taniguchi, habitué que je suis au monde onirique et subtil de l'auteur. Et puis je me suis ravisé car c'est bien dans le domaine du rêve que nous sommes ici. Mais qui rêve Kazuhiro Kubota, Takuya ou nous lecteur ? Car bien sûr, mais cela n'engage que moi, cette histoire ne peut être qu'un rêve.
Alors Kubota vit-il une forme d'expérience de mort imminente ou bien lisons-nous un conte ?
En tous cas une fois encore le message de sagesse est bien là :
Nous n'avons qu'une vie ; aucune touche « replay » ne se présentera à la fin. Nous n'avons pas le droit de sacrifier nos proches, de sacrifier la bulle de bonheur dans laquelle chacun d'eux, et nous, naviguons, le coeur repus ; sous aucun prétexte que ce soit et surtout pas sous celui, fallacieux, du travail.
Le seul bémol de ce manga, pour moi, est une certaine trivialité, l'absence du raffinement délicat d'un « homme qui marche », d'un « orme du Caucase » ou d'un « gourmet solitaire ».
petit résumé si vous le souhaitez:
Kazuhiro Kubota et Takuya vont avoir un accident terrible.
Takuya s'en sort de justesse plongé dans le coma mais Kubota meurt. Cependant tous ne vas être aussi simple car l'esprit de Kubota va venir occuper le corps de Takuya et il va tout mettre en oeuvre pour que ce corps d'adoption aille faire part à sa famille de tous les regrets qui le ronge - expérience improbable – que de reconnaître un cher disparu dans le corps d'un étranger et pourtant les messages vont passer.
Petit à petit l'esprit de de Takuya va reprendre possession de son corps et là encore chacun des deux va apporter à l'autre
J'ai commencé par être surpris par cet opus de Taniguchi, habitué que je suis au monde onirique et subtil de l'auteur. Et puis je me suis ravisé car c'est bien dans le domaine du rêve que nous sommes ici. Mais qui rêve Kazuhiro Kubota, Takuya ou nous lecteur ? Car bien sûr, mais cela n'engage que moi, cette histoire ne peut être qu'un rêve.
Alors Kubota vit-il une forme d'expérience de mort imminente ou bien lisons-nous un conte ?
En tous cas une fois encore le message de sagesse est bien là :
Nous n'avons qu'une vie ; aucune touche « replay » ne se présentera à la fin. Nous n'avons pas le droit de sacrifier nos proches, de sacrifier la bulle de bonheur dans laquelle chacun d'eux, et nous, naviguons, le coeur repus ; sous aucun prétexte que ce soit et surtout pas sous celui, fallacieux, du travail.
Le seul bémol de ce manga, pour moi, est une certaine trivialité, l'absence du raffinement délicat d'un « homme qui marche », d'un « orme du Caucase » ou d'un « gourmet solitaire ».
petit résumé si vous le souhaitez:
Kazuhiro Kubota et Takuya vont avoir un accident terrible.
Takuya s'en sort de justesse plongé dans le coma mais Kubota meurt. Cependant tous ne vas être aussi simple car l'esprit de Kubota va venir occuper le corps de Takuya et il va tout mettre en oeuvre pour que ce corps d'adoption aille faire part à sa famille de tous les regrets qui le ronge - expérience improbable – que de reconnaître un cher disparu dans le corps d'un étranger et pourtant les messages vont passer.
Petit à petit l'esprit de de Takuya va reprendre possession de son corps et là encore chacun des deux va apporter à l'autre
