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Critique de LoupAlunettes
Là-haut, tout là-haut sur la montagne, il y avait une histoire à raconter.
Quand deux amis de la Nature très très poilus se rencontrent, cela donne ceci:
Un trappeur et un ours énorme qui partageront du temps.
L'aventure sera humoristique. Très.
L'auteur-illustrateur Lionel Tarchala oubliera un peu qu'un ours peut faire une bouchée d'un promeneur, ici tout sera bonne enfant.
Les deux compères en première de couverture nous feront déja sourire, l'ours aussi couvert que l'homme barbu, l'un aussi gros que l'autre est maigre. C'est clownesque.
Le trappeur n'a pas peur de l'ours, bien au contraire, il voudra rapidement sympathiser car il y a beaucoup à apprendre en se refilant des trucs et astuces pour se débrouiller dans les bois.
Le problème est que l'ours, lui, se montrera froussard et cela prendra du temps pour faire confiance.
Une amitié compliquée mais naissante.
Lorsque l'ours partira avec les vêtements du trappeur qui se baigne, on comprendra rapidement que cette phase est terminée.
L'idée est bonne, confronter le trappeur à l'ours mal léché( au sens propre et au figuré).
Lequel aura le dernier mot ?
Tout cela est bien convivial, amical voire fraternel.
On aime beaucoup les contrastes chromatiques chaud et froids, bleu pétrole et orangé sur un fond bien blanc.
Toute la forêt est enveloppée de bleu, comme si le ciel ne se reflétait pas uniquement que sur la surface de la rivière mais aussi sur tout ce petit monde sauvage.
C'est très chouette.
Une autre lumière colorée plus chaude viendra aussi révéler des volumes, des détails, mis de côté pour ces aplats bleus.
Un album irrésistible.
Quand deux amis de la Nature très très poilus se rencontrent, cela donne ceci:
Un trappeur et un ours énorme qui partageront du temps.
L'aventure sera humoristique. Très.
L'auteur-illustrateur Lionel Tarchala oubliera un peu qu'un ours peut faire une bouchée d'un promeneur, ici tout sera bonne enfant.
Les deux compères en première de couverture nous feront déja sourire, l'ours aussi couvert que l'homme barbu, l'un aussi gros que l'autre est maigre. C'est clownesque.
Le trappeur n'a pas peur de l'ours, bien au contraire, il voudra rapidement sympathiser car il y a beaucoup à apprendre en se refilant des trucs et astuces pour se débrouiller dans les bois.
Le problème est que l'ours, lui, se montrera froussard et cela prendra du temps pour faire confiance.
Une amitié compliquée mais naissante.
Lorsque l'ours partira avec les vêtements du trappeur qui se baigne, on comprendra rapidement que cette phase est terminée.
L'idée est bonne, confronter le trappeur à l'ours mal léché( au sens propre et au figuré).
Lequel aura le dernier mot ?
Tout cela est bien convivial, amical voire fraternel.
On aime beaucoup les contrastes chromatiques chaud et froids, bleu pétrole et orangé sur un fond bien blanc.
Toute la forêt est enveloppée de bleu, comme si le ciel ne se reflétait pas uniquement que sur la surface de la rivière mais aussi sur tout ce petit monde sauvage.
C'est très chouette.
Une autre lumière colorée plus chaude viendra aussi révéler des volumes, des détails, mis de côté pour ces aplats bleus.
Un album irrésistible.
