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Critique de Pavlik


"The Lost Canvas" met en scène la première guerre sainte, opposant Athéna et Hadès. Contrairement à la bataille du sanctuaire originelle (confrontant Seiya et consort au grand Pope, 250 ans plus tard), ce sont ici essentiellement les chevaliers d'or qui sont mis en avant, en tant que héros (bien que dans les épisodes originaux, beaucoup d'entre eux ignoraient oeuvrer pour le mal), si ce n'est Tenma, le chevalier de Pégase de l'époque.

Le tome précédent avait vu Hadès (rappelons-le, celui-ci s'est réincarné dans le corps d'Alone, le meilleur ami de Tenma) marquer des points : il semble avoir achevé sa réincarnation (les résidus de l'âme d'Alone l'empêchait jusqu'alors d'agir à sa guise), s'est débarrassé des dieux jumeaux (Hypnos et Thanatos) qui menaçaient son leadership, a facilement battu Dôko (chevalier d'or de la Balance et futur maître de Shiryu) et Hakurei et a déplacé son palais au sein du Lost Canvas, cette fresque qui recouvre peu à peu les cieux, telle un compte à rebours annonçant la fin du monde.

C'est pourquoi Tenma décide de se rendre sur l'île de Kanon, où réside un mystérieux démon, dont l'enseignement pourrait le rendre plus fort, lui qui ignore encore tout du 7ème sens. Par ailleurs, Athéna, consciente de sa faiblesse relative, charge Dégel, du Verseau et Kardia, du Scorpion de se rendre au royaume de Bluegrad, en Sibérie orientale, afin de proposer une alliance à Poseïdon, dont l'âme et gardée par les chevaliers de glaces. Hélas, ils ont été devancés par Rhadamanthe, spectre du Wyvern, un des trois juges des armées d'Hadès et Pandore. Un terrible combat s'engage...

Encore un tome sympathique : on y découvre le royaume de Bluegrad, gardien du savoir de l'humanité. le tandem Dégel (un chevalier sage et érudit) et Kardia (un badass un brin pervers) et assez iconoclaste mais fonctionne relativement bien. le début de l'affrontement entre le Scorpion et Rhadamanthe est prometteur. Par contre, comme d'habitude, je suis toujours aussi agacé par les onomatopées géantes et les dessins parfois illisibles...Faut quand même être assez fan de Saint Seiya pour supporter.
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