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Critique de Elsaragon
Annoncé comme un polar, mais ce n'en pas réellement un, du moins dans ce que l'on attend du genre.
Cela ressemble plus à un huis-clos car la majeure partie de l'action se passe sur l'île d'Öland. Et même si les protagonistes rejoignent de temps à autre le continent, que ce soit pour partir en recherche de la vérité, ou pour visiter un enfant malade, le coeur de l'action est bien sur cette île où se cotoyent les quelques rares résidents du cru et les propriétaires de résidence secondaire.
Deux histoires parallèles : celle de Peter Mörner et celle de Vendela. Oui, ces deux-là vont se rencontrer, se découvrir, s'apprécier mais ne cherchez pas, il ne s'agit pas d'une relation de couple.
Et en filigrane, les elfes, les trolls, les habitants imaginaires ou pas de ce ces contrées baltiques. Bienfaisants, malfaisants, réels ? Je vous laisse le découvrir.
Cela ressemble plus à un huis-clos car la majeure partie de l'action se passe sur l'île d'Öland. Et même si les protagonistes rejoignent de temps à autre le continent, que ce soit pour partir en recherche de la vérité, ou pour visiter un enfant malade, le coeur de l'action est bien sur cette île où se cotoyent les quelques rares résidents du cru et les propriétaires de résidence secondaire.
Deux histoires parallèles : celle de Peter Mörner et celle de Vendela. Oui, ces deux-là vont se rencontrer, se découvrir, s'apprécier mais ne cherchez pas, il ne s'agit pas d'une relation de couple.
Et en filigrane, les elfes, les trolls, les habitants imaginaires ou pas de ce ces contrées baltiques. Bienfaisants, malfaisants, réels ? Je vous laisse le découvrir.
