Le narrateur de
Plagiat est un écrivain qui fait parfois l'acteur, c'est un beau gosse. Quand sa femme le quitte, il se retrouve désemparé alors qu'il ne prêtait plus guère qu'une attention lointaine à sa femme. Pris à la gorge par le contrat qui le lie à sa maison d'édition et qui stipule qu'il doit écrire un livre par an, il se décide à utiliser les lettres que lui écrivît sa femme.
Ce roman parle beaucoup plus des errances d'un homme quitté que de
plagiat. D'ailleurs, je ne m'attendais pas à cette forme de
plagiat qui consiste à utiliser des lettres personnelles et à les changer un peu. Vous savez à quel point les errances des quadras ou quinquas m'agacent, je n'ai donc pas trouvé mon plaisir dans la lecture de ce court roman. Et certaines vérités générales (fausses en plus) m'ont agacée:
Combien de fois j'ai entendu Stéphanie râler contre la pluie à cause de ses cheveux. Les femmes me font sourire. Elles attachent de l'importance à de menus détails auxquels nous, gent masculine, n'aurions jamais fait attention.
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