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Critique de unerenardaparis
« - Riamh, m'eudail, chuchote-t-il alors que mon index dérive sur ses lèvres humides.
- Vas-tu me dire ce que cela signifie ?
- À jamais, mon amour. »
Phèdre fuit la France pour l'Écosse, afin de respecter les dernières volontés de son père. Hébergée dans une famille d'accueil, elle trouve un emploi à The Unicorn, sorte de bar branché au coeur d'Edimbourg.
Une seule consigne dans ce travail, ne jamais se rendre au sous-sol, réservé aux membres VVIP. Sauf que Phèdre se perd, et y découvre un univers que l'on pensait perdu depuis des siècles : celui des clans.
Car l'allégeance à l'Angleterre n'est qu'une façade. Dans l'ombre, plusieurs clans s'affrontent pour revendiquer la suprématie de l'Écosse.
Phèdre se retrouve malgré elle au coeur du guerre. Et devient par un concours de circonstance la pupille de Caleb MacCoy, un chef de clan… surnommé l'Ogre.
Voilà quelques temps que ce livre me faisait de l'oeil, j'ai donc embarqué pour un voyage chez les Highlanders (Lol, il ne doit en rester qu'un !)
Le début est déroutant et m'a presque perdue. Il nous parle de combat à mains nues, de bafouement d'honneur, de revendiquer une vertu, je me suis demandé plusieurs fois si je n'étais pas repartie dans le passé ! Cette sensation s'estompe très vite, on se fait vite à cet étrange phrasé.
Il m'est impossible de résumer l'histoire, tant c'est un pavé, l'histoire de Phèdre et de Caleb se déroulant sur les deux premiers tomes. Leur relation m'a longtemps déroutée, le premier tome n'est écrit que du point de vue de Phèdre, nous rendant les pensées de Caleb inaccessibles. Et puis, vient la révélation du premier tome où l'on se dit « Oh, shit » et nous embraye directement sur le second pour connaître la suite.
Complots, trahison, révélations, amour contrarié, tout est là. Si vous aimez les épopées et les sagas, foncez. C'est addictif, on s'attache aux personnages et on en redemande. (Je commence le 4ème tome.)
J'adore l'ambiance du récit. On ressent le climat glacial, la rugosité des pierres des châteaux, on entend le chant des cornemuses.
Après 2000 pages de lecture, je suis persuadée que le kilt irait à ravir à mon homme, mais, bouh, il refuse !
- Vas-tu me dire ce que cela signifie ?
- À jamais, mon amour. »
Phèdre fuit la France pour l'Écosse, afin de respecter les dernières volontés de son père. Hébergée dans une famille d'accueil, elle trouve un emploi à The Unicorn, sorte de bar branché au coeur d'Edimbourg.
Une seule consigne dans ce travail, ne jamais se rendre au sous-sol, réservé aux membres VVIP. Sauf que Phèdre se perd, et y découvre un univers que l'on pensait perdu depuis des siècles : celui des clans.
Car l'allégeance à l'Angleterre n'est qu'une façade. Dans l'ombre, plusieurs clans s'affrontent pour revendiquer la suprématie de l'Écosse.
Phèdre se retrouve malgré elle au coeur du guerre. Et devient par un concours de circonstance la pupille de Caleb MacCoy, un chef de clan… surnommé l'Ogre.
Voilà quelques temps que ce livre me faisait de l'oeil, j'ai donc embarqué pour un voyage chez les Highlanders (Lol, il ne doit en rester qu'un !)
Le début est déroutant et m'a presque perdue. Il nous parle de combat à mains nues, de bafouement d'honneur, de revendiquer une vertu, je me suis demandé plusieurs fois si je n'étais pas repartie dans le passé ! Cette sensation s'estompe très vite, on se fait vite à cet étrange phrasé.
Il m'est impossible de résumer l'histoire, tant c'est un pavé, l'histoire de Phèdre et de Caleb se déroulant sur les deux premiers tomes. Leur relation m'a longtemps déroutée, le premier tome n'est écrit que du point de vue de Phèdre, nous rendant les pensées de Caleb inaccessibles. Et puis, vient la révélation du premier tome où l'on se dit « Oh, shit » et nous embraye directement sur le second pour connaître la suite.
Complots, trahison, révélations, amour contrarié, tout est là. Si vous aimez les épopées et les sagas, foncez. C'est addictif, on s'attache aux personnages et on en redemande. (Je commence le 4ème tome.)
J'adore l'ambiance du récit. On ressent le climat glacial, la rugosité des pierres des châteaux, on entend le chant des cornemuses.
Après 2000 pages de lecture, je suis persuadée que le kilt irait à ravir à mon homme, mais, bouh, il refuse !
