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Critique de Elvira
Ayant relu tous les tomes de la série des Harry Potter cet été, j'ai eu envie de découvrir ce nouvel opus, bien qu'il s'agisse d'une pièce de théâtre, genre littéraire que je n'apprécie généralement pas lire. le bilan de cette lecture est assez mitigé.
La pièce s'ouvre au moment exact où le septième tome s'est achevé, sur le quai de la gare de King's Cross, alors que le Poudlard express est prêt à partir. On retrouve Ron, Harry, Hermione, Ginny et Drago, accompagnés de leurs enfants respectifs ; il s'agit de la première rentrée scolaire du fils cadet de Harry et Ginny, Albus Severus Potter, et de celle du fils unique de Drago, Scorpius. Les différents personnages ont quelque peu évolué, ce qui est appréciable : Harry Potter doit faire face à un rôle qui peut s'avérer difficile, celui de père. Ainsi, la pièce est construite autour de deux thèmes principaux : l'amitié et la relation père-fils (ou enfant). Albus, envoyé par le Choixpeau à Serpentard, a des difficultés à supporter le lourd héritage paternel et ne parvient pas à trouver sa place dans le monde des sorciers. Harry, lui, n'est plus héroïque : il est un père maladroit et perdu, qui enchaîne erreur sur erreur.
L'univers magique, les nombreux échos, références et autres clins d'oeil aux romans sont très présents tout au long de la pièce et nous rappellent avec plaisir les aventures précédentes ; l'alternance de certaines scènes entre passé et présent est cohérente et bien menée. Les scènes se succèdent rapidement, l'action est dense, très rythmée puisqu'il s'agit d'une pièce de théâtre ; il règne un certain suspens qui tient le lecteur en haleine.
Cependant, si le début de la pièce était globalement cohérent et divertissant, la fin de l'acte III et l'acte IV manquent malheureusement d'intérêt et gâchent un peu l'ensemble : l'intrigue est poussée un peu trop loin et les événements ne sont que peu crédibles. de plus, puisqu'il s'agit d'une pièce de théâtre, il manque ce qui fait le sel, le plaisir d'un roman, c'est-à-dire les descriptions physiques, psychologiques ou celles des paysages ; il n'y a finalement que peu de détails, on en ressort un peu frustré.
Cette pièce reste une lecture divertissante et il est toujours aussi plaisant de retrouver l'univers magique et familier de la saga Harry Potter.
La pièce s'ouvre au moment exact où le septième tome s'est achevé, sur le quai de la gare de King's Cross, alors que le Poudlard express est prêt à partir. On retrouve Ron, Harry, Hermione, Ginny et Drago, accompagnés de leurs enfants respectifs ; il s'agit de la première rentrée scolaire du fils cadet de Harry et Ginny, Albus Severus Potter, et de celle du fils unique de Drago, Scorpius. Les différents personnages ont quelque peu évolué, ce qui est appréciable : Harry Potter doit faire face à un rôle qui peut s'avérer difficile, celui de père. Ainsi, la pièce est construite autour de deux thèmes principaux : l'amitié et la relation père-fils (ou enfant). Albus, envoyé par le Choixpeau à Serpentard, a des difficultés à supporter le lourd héritage paternel et ne parvient pas à trouver sa place dans le monde des sorciers. Harry, lui, n'est plus héroïque : il est un père maladroit et perdu, qui enchaîne erreur sur erreur.
L'univers magique, les nombreux échos, références et autres clins d'oeil aux romans sont très présents tout au long de la pièce et nous rappellent avec plaisir les aventures précédentes ; l'alternance de certaines scènes entre passé et présent est cohérente et bien menée. Les scènes se succèdent rapidement, l'action est dense, très rythmée puisqu'il s'agit d'une pièce de théâtre ; il règne un certain suspens qui tient le lecteur en haleine.
Cependant, si le début de la pièce était globalement cohérent et divertissant, la fin de l'acte III et l'acte IV manquent malheureusement d'intérêt et gâchent un peu l'ensemble : l'intrigue est poussée un peu trop loin et les événements ne sont que peu crédibles. de plus, puisqu'il s'agit d'une pièce de théâtre, il manque ce qui fait le sel, le plaisir d'un roman, c'est-à-dire les descriptions physiques, psychologiques ou celles des paysages ; il n'y a finalement que peu de détails, on en ressort un peu frustré.
Cette pièce reste une lecture divertissante et il est toujours aussi plaisant de retrouver l'univers magique et familier de la saga Harry Potter.
