>
Critique de belette2911
Pour moi, l'aventure intitulée "L'enfer de Xique-Xique" est un must ! Grosse référence au pénitencier de Xing-Xing... mais en version humour.
Il y a des scénaristes de talents qui peuvent nous parler d'une dictature où les preuves sont déposées exprès dans votre poche, où les procès, dont le vôtre, sont truqués, où on lâche des gaz hilarants pour faire rire la foule quand le président tout puissant sort un bon mot... vous avez tout compris.
Cela aurait pu être démoralisant, mais avec des scénaristes de talents, vous riez du début à la fin. Pour moi, l'aventure vaut bien celle de Spirou et Fabtasio "QRN sur Bretzelburg" où les militaires avaient une fâcheuse ressemblance avec les casques à pointes de 40-45.
Ici, le bagne est installé dans le désert, une seule route y mène, longue de 600km, la rempérature y est de 50° degré à l'ombre... à l'ombre de quoi ? Il n'y en a pas !!
Pourtant, Jourdan n'est pas un imbécile et trouvera un moyen de s'évader avec Libellule qui lui, trouvera un moyen de placer un bon mot dans toutes ses phrases.
Dans "Le gant à trois doigts", nous avons affaire à un émir totalitaire aussi et de nouveau, c'est avec l'humour que Tillieux nous narre cette histoire, sur fond d'espionnage et d'enlèvement.
Le sujet était porteur et nous avons souvent des régimes totalitaires qui enlevaient des savants pour les faire travailler sur des projets d'armes révolutionnaires.
"Le chinois à deux roues" est tout aussi excellent que ces prédécesseurs et là, nous sommes au Si-Kang, parce que Jourdan travaille pour monsieur Lien, l'homme qui, en Chine, avait le monopole des scooters.
Oui mais voilà, les chinois n'achetaient plus ses scooters parce qu'ils en trouvaient des moins chers, passés en fraude à la frontière indienne.
Et voilà nos trois compères sur les routes défoncées, sous la pluie, dans la boue, et essayant de trouver l'endroit d'où les trafiquants opèrent.
Un must lui aussi, de l'humour comme s'il en pleuvait !
Il y a des scénaristes de talents qui peuvent nous parler d'une dictature où les preuves sont déposées exprès dans votre poche, où les procès, dont le vôtre, sont truqués, où on lâche des gaz hilarants pour faire rire la foule quand le président tout puissant sort un bon mot... vous avez tout compris.
Cela aurait pu être démoralisant, mais avec des scénaristes de talents, vous riez du début à la fin. Pour moi, l'aventure vaut bien celle de Spirou et Fabtasio "QRN sur Bretzelburg" où les militaires avaient une fâcheuse ressemblance avec les casques à pointes de 40-45.
Ici, le bagne est installé dans le désert, une seule route y mène, longue de 600km, la rempérature y est de 50° degré à l'ombre... à l'ombre de quoi ? Il n'y en a pas !!
Pourtant, Jourdan n'est pas un imbécile et trouvera un moyen de s'évader avec Libellule qui lui, trouvera un moyen de placer un bon mot dans toutes ses phrases.
Dans "Le gant à trois doigts", nous avons affaire à un émir totalitaire aussi et de nouveau, c'est avec l'humour que Tillieux nous narre cette histoire, sur fond d'espionnage et d'enlèvement.
Le sujet était porteur et nous avons souvent des régimes totalitaires qui enlevaient des savants pour les faire travailler sur des projets d'armes révolutionnaires.
"Le chinois à deux roues" est tout aussi excellent que ces prédécesseurs et là, nous sommes au Si-Kang, parce que Jourdan travaille pour monsieur Lien, l'homme qui, en Chine, avait le monopole des scooters.
Oui mais voilà, les chinois n'achetaient plus ses scooters parce qu'ils en trouvaient des moins chers, passés en fraude à la frontière indienne.
Et voilà nos trois compères sur les routes défoncées, sous la pluie, dans la boue, et essayant de trouver l'endroit d'où les trafiquants opèrent.
Un must lui aussi, de l'humour comme s'il en pleuvait !
