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Critique de Sofiert
Pas facile de faire une bande dessinée biographique qui soit à la fois très documentée et graphiquement inventive.
C'est pourtant un pari réussi puisque le contenu, très dense par ailleurs, est bien présent et que les planches sont très expressives.
L'auteur a choisi deux points de vue narratif : d'abord celui d'une adolescente, camarade de classe d'Angela, qui mourra en 1963 dans un attentat à la bombe contre une église baptiste à Birmingham en Alabama.
A sa mort, le relais est pris par une journaliste militante qui suivra Angela et ses amis.
Deux narratrices donc, mais aussi plusieurs styles de dessin en fonction des événements. de beaux portraits pleine page en alternance avec des vignettes audacieuses, des tracts, des affiches et des dessins de procès, parfois en noir et blanc, parfois éblouissantes de couleurs.
Cette bande dessinée peut plaire aussi bien aux adeptes de belles images qu'à ceux qui s'intéressent aux combats des Afro-Americains dans leur lutte contre les discriminations.
C'est pourtant un pari réussi puisque le contenu, très dense par ailleurs, est bien présent et que les planches sont très expressives.
L'auteur a choisi deux points de vue narratif : d'abord celui d'une adolescente, camarade de classe d'Angela, qui mourra en 1963 dans un attentat à la bombe contre une église baptiste à Birmingham en Alabama.
A sa mort, le relais est pris par une journaliste militante qui suivra Angela et ses amis.
Deux narratrices donc, mais aussi plusieurs styles de dessin en fonction des événements. de beaux portraits pleine page en alternance avec des vignettes audacieuses, des tracts, des affiches et des dessins de procès, parfois en noir et blanc, parfois éblouissantes de couleurs.
Cette bande dessinée peut plaire aussi bien aux adeptes de belles images qu'à ceux qui s'intéressent aux combats des Afro-Americains dans leur lutte contre les discriminations.
