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Critique de Bleuven
Belle Île en mer, 1934. Les adolescents du bagne se révoltent devant une ultime brimade des gardiens. L'émeute éclate et une cinquantaine de jeunes s'échappent. S'en suit une chasse à l'homme où tous les résidents de l'île participent afin de recevoir une prime.
Gabriel, dit Gab, fait partie des adolescents épris de liberté. Aël, une jeune paysanne dont le prénom signifie Ange en breton, vit dans la peur de son tyran de père. Elle aussi, n'aspire qu'à quitter l'île. Elle va rencontrer cinq des jeunes évadés du bagne et les aidera dans leur quête de liberté.
Tiré d'une histoire vraie, l'auteur a réussi à me captiver dès le début du roman. La découverte de cette sombre partie de notre Histoire où des colonies pénitentiaires accueillaient des jeunes enfants issus de l'assistance publique m'a bouleversée. Les descriptions de la sauvagerie des mâtons mais aussi les querelles internes sont poignantes.
L'auteur a écrit ce roman dans le cadre du "Feuilleton des Incos", ce qui ajoute à la difficulté. C'est une belle réussite !
Gabriel, dit Gab, fait partie des adolescents épris de liberté. Aël, une jeune paysanne dont le prénom signifie Ange en breton, vit dans la peur de son tyran de père. Elle aussi, n'aspire qu'à quitter l'île. Elle va rencontrer cinq des jeunes évadés du bagne et les aidera dans leur quête de liberté.
Tiré d'une histoire vraie, l'auteur a réussi à me captiver dès le début du roman. La découverte de cette sombre partie de notre Histoire où des colonies pénitentiaires accueillaient des jeunes enfants issus de l'assistance publique m'a bouleversée. Les descriptions de la sauvagerie des mâtons mais aussi les querelles internes sont poignantes.
L'auteur a écrit ce roman dans le cadre du "Feuilleton des Incos", ce qui ajoute à la difficulté. C'est une belle réussite !
