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Critique de topocl
Comment elle fait Yolandi, quand sa soeur Elfrieda est l'une des personnes qu'elle aime le plus au monde et qu'Elfrieda ne pense qu'au suicide et la supplie de l'aider ? Que font tous les membres du clan de cette famille mennonite, élevée à l‘idée que se donner la mort, c'est pécher, et incapables d'envisager la vie sans Elfrieda ?
Ils vivent une course contre la montre terrible et déchirante, avec ce qu'il faut de combat, de grandeurs et de mesquineries, de larmes et de fous rires, de petites choses du quotidien, car oui, le quotidien continue à courir alors que votre soeur est en danger de de mort : incroyable, non ?
Et elle, Yolandi, en écrit un bouquin tout aussi terrible, bouleversant et plein d'humour : oui, on rit et pleure tout en même temps. On pense à Valérie Donzelli dans La guerre est déclarée : la même force, la même dynamique, la même folie.
Ils vivent une course contre la montre terrible et déchirante, avec ce qu'il faut de combat, de grandeurs et de mesquineries, de larmes et de fous rires, de petites choses du quotidien, car oui, le quotidien continue à courir alors que votre soeur est en danger de de mort : incroyable, non ?
Et elle, Yolandi, en écrit un bouquin tout aussi terrible, bouleversant et plein d'humour : oui, on rit et pleure tout en même temps. On pense à Valérie Donzelli dans La guerre est déclarée : la même force, la même dynamique, la même folie.
