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Critique de Alfaric
Dans ce tome 26, nous sommes toujours dans un temps contracté : le mangaka coordonne et met en scène la simultanéité de tous les POVs, ceux des champions de l'humanité et ceux des champions des Kimera Ants !
Tout ce que tourne autour du combat homérique entre Menthuthyoupi et ses adversaires humains est hautement palpitant donc carrément excellent, et les retrouvailles entre Gon, Kirua et Neferupito baignent dans une tension insoutenable ! Depuis le le tome 1 la série navigue dans un flou moral inquiétant, Kirua se liant à Gon au-delà du Bien et du Mal mais capable de devenir comme Hisoka un énième psychopathe égocentrique : ici Kirua sent bien que Gon tourmenté par sentiments intenses est au bord de la rupture, donc tout prêt de basculer du Côté Obscur !
Par contre les mind games de Werrufin le roi de l'ombre et Ikarugo en mode search & rescue, ben on s'en fout un peu, sans parler du running gag de Djitô l'homme-léopard qui ici se termine par un game over... Dans un volume complet, ça tire l'ensemble vers le bas, mais à l'époque de la prépublication en magazine c'était carrément insupportable... (1 ou 2 chapitres consacrés à un POV palpitant, X mois d'attente, 1 ou 2 chapitres OSEF, X mois d'attente, 1 ou 2 chapitres consacrés à un POV palpitant et ainsi de suite)
Tout ce que tourne autour du combat homérique entre Menthuthyoupi et ses adversaires humains est hautement palpitant donc carrément excellent, et les retrouvailles entre Gon, Kirua et Neferupito baignent dans une tension insoutenable ! Depuis le le tome 1 la série navigue dans un flou moral inquiétant, Kirua se liant à Gon au-delà du Bien et du Mal mais capable de devenir comme Hisoka un énième psychopathe égocentrique : ici Kirua sent bien que Gon tourmenté par sentiments intenses est au bord de la rupture, donc tout prêt de basculer du Côté Obscur !
Par contre les mind games de Werrufin le roi de l'ombre et Ikarugo en mode search & rescue, ben on s'en fout un peu, sans parler du running gag de Djitô l'homme-léopard qui ici se termine par un game over... Dans un volume complet, ça tire l'ensemble vers le bas, mais à l'époque de la prépublication en magazine c'était carrément insupportable... (1 ou 2 chapitres consacrés à un POV palpitant, X mois d'attente, 1 ou 2 chapitres OSEF, X mois d'attente, 1 ou 2 chapitres consacrés à un POV palpitant et ainsi de suite)
